Publiés en 1609, ces sonnets étaient diffusés clandestinement, car qualifiés de sonnets érotiques. Ils relatent une liaison passionnelle, avec ses déclarations d'amour, ses périodes de doute et ses scènes de jalousie.

Ce roman propose le récit des souffrances, des interrogations et de la culpabilité de Jim, à la suite d'un accident de voiture dans lequel son fils, Tommy, est décédé et qui lui a coûté l'usage de ses jambes, son travail et son couple. Cet antihéros obsessionnel sombre alors dans une folie volontaire et se donne pour mission de finir la dernière partie du jeu vidéo favori de son fils....

L'idée maîtresse, à l'origine de ce travail, a été de restituer dans une écriture contemporaine les paradoxes du texte et de la langue d'Augustin. La traduction veut faire entendre la modernité du texte augustinien, dans lequel les figures de l'aveu et de la confession sont au service de l'invention de soi.

Ce roman aborde le thème du retour de la guerre et fait apparaître une figure exilée, muette et souveraine. L'homme qui revient n'est plus le même.

Le narrateur raconte une rencontre troublante de son enfance. Au fil des souvenirs qui peinent à émerger, il décrit la révélation amoureuse, son apprentissage, ses errements et ses erreurs, ses folies et sa misère. Une opération de délivrance qui évoque la jeunesse, la maturité, l'entrée dans l'âge adulte, le salut par l'amour et la damnation.(Electre)

Trois poèmes qui rendent hommage à la compagne décédée de l'écrivain. Le premier est construit autour de la lettre A, intiale du prénom de la défunte. Le deuxième est une lettre à la disparue et le troisième est une interrogation sur la mort et sur la vie.(Electre)

Une nouvelle traduction des Géorgiques, un poème sur l'agriculture en quatre parties consacrées à la culture des céréales, aux arbres, à l'élevage et aux abeilles. ©Electre 2024

Une nouvelle traduction des Géorgiques, un poème sur l'agriculture en quatre parties consacrées à la culture des céréales, aux arbres, à l'élevage et aux abeilles. ©Electre 2019

Nouvelle traduction des quatre Evangiles canoniques, appréhendés comme des oeuvres de la littérature antique juive et gréco-romaine, forgées à partir des pratiques orales d'enseignement et de discussion de la Torah, du VIe siècle av. J.-C. au Ier siècle. ©Electre 2023

Il y a plus de deux mille ans, Jésus de Nazareth, juif de Galilée, livra à ses contemporains une parole toute nouvelle, des mots et des enseignements étranges et forts, hors du commun. Comment cette parole fut reçue, comment elle bouleversa une société tout entière et comment fut-elle transmise jusqu'à nous ? C'est ce que Serge Bloch, illustrateur mondialement reconnu, et Frédéric Boyer, auteur de nombreux romans chez P.O.L, nous racontent dans ce livre, à travers un texte et des illustrations saisissantes, une vision personnelle et moderne de la vie de Jésus et de la mémoire qu'elle a laissé. Un récit illustré ultra contemporain, entre le beau livre et le roman graphique, qui parvient à restituer la force, la modernité, et plus encore, l'immense portée littéraire des Évangiles.

35 grands récits de l'Ancien Testament mis en images : la création, Adam et Eve chassés du paradis, le combat de Jacob et de l'ange, ou encore Joseph et ses frères. ©Electre 2016

Installé sur la table d'un thérapeute chamane, le narrateur voit un personnage de son enfance refaire surface. Cet homme a été pendant quelques mois son voisin à Toulouse. Sorte d'aventurier au parcours louche, il emmène le narrateur, alors enfant, dans des virées à travers la campagne armé d'un fusil. Lors de leur dernière sortie de chasse, un lièvre est tué. ©Electre 2021

Recueil de chroniques publiées depuis deux ans dans le quotidien La Croix et l'hebdomadaire La Croix-L'Hebdo, dans lesquelles l'écrivain raconte, à partir de sa vie personnelle, son rapport au monde.

Le fait d'être humain ne procède pas uniquement de nous-mêmes, comme le fait d'être d'une culture, d'une histoire ne procède pas d'un seul autre, ou d'un seul semblable, mais de l'ensemble des autres, de tous les semblables, et plus loin encore de l'autre à venir, du dissemblable, de l'étranger, de l'autre culture, de l'autre histoire. Où et comment se pose la question de l'honneur à cet instant ? N'est-ce pas à cette pliure que fait courir à l'espèce le mépris, l'incompréhension, le refus de l'autre ? Aujourd'hui nous devons faire face. Et savoir d'instinct, savoir sans le comprendre que la seule force, la seule valeur, la seule dignité, c'est de ne pas comprendre si comprendre nous fait renoncer à l'amour de l'autre. Voilà ce qui fonde, voilà ce qui fait la légitimité non seulement d'une existence mais de toute communauté.