Geneviève aime Sam. Sam aime Geneviève. "Si seulement j'étais moins petite", pense Geneviève. "Si seulement nous pouvions vivre à Hawaï", soupire le grand Sam.

Un petit garçon s'interroge sur le sens de son existence devant le miroir d'une armoire. Une réflexion pour les enfants sur l'identité des petits et des plus grands.

Vieux lapin va très mal. Grand lapin ne répond pas aux questions. Alors Petit lapin stupide s'en va interroger d'autres animaux : " Comment c'est, quand on est mort ? "

Un texte tendre, qui sait raconter un moment, une atmosphère. Théo habite le phare, sur la dune. Il attend Matroos, un marin, pour partir ensemble, naviguer autour du monde. Il y a dans l'illustration d'Ingrid Godon quelque chose d'Erlbruch, et dans le texte, on palpe l'attente, le silence, et la mer. C'est un texte court, avec une belle fin qui n'en est pas une

Les comptines les plus impertinentes et les proverbes de la tradition orale enfantine accompagnés d'illustrations venues de l'imagerie populaire.

Le jour de la lessive, quand le linge est mis à sécher par sa mère, c'est l'occasion, pour un petit garçon, d'un voyage le long du fil. Derrière le drap, le décor a changé et celui-ci passe d'un univers à un autre, rencontrant lutins, chevaliers et robots, ou encore des animaux sauvages et une tribu amazonienne.

A treize ans - presque quinze, dit-elle-, lors d'un séjour avec sa mère à Venise, une adolescente se passionne pour un jeu d'adresse pratiqué discrètement sur le bord d'un canal. Certaine de gagner, elle rentre dans la partie sans se soucier de l'enjeu. Elle perd. Elle perd, encore et encore. La partie achevée, l'adolescente découvre, tétanisée, qu'elle doit une heure de son temps au gagnant ! Comment sortir dignement de ce mauvais pas ? Etre grande n'est pas facile, à treize ans, presque onze

49 petits poèmes sur le quotidien : entre Ballon, Corde à linge, Circulation et Mouette, le lecteur entre dans l'univers de l'auteur.

La vie de Nours, une peluche, est rythmée par celle de Paul et Léa, deux bambins : les jeux, les repas, la toilette, le coucher, etc. Annoncée par une panoplie d'éléments poncifs des albums pour tout-petits, chaque situation convenue de la vie quotidienne des bébés est tendrement subvertie à la page suivante. ©Electre 2020

Un enfant imaginatif vit de grandes aventures avec la lessive que sa mère fait sécher sur le fil. Des illustrations au trait et sans texte permettent de créer un dialogue avec l'enfant ou de laisser courir l'imagination.

Le jour de la lessive, quand le linge est mis à sécher par sa mère, c'est l'occasion, pour un petit garçon, d'un voyage le long du fil. Derrière le drap, le décor a changé et celui-ci passe d'un univers à un autre, rencontrant lutins, chevaliers et robots, ou encore des animaux sauvages et une tribu amazonienne.

Ces paroles poétiques d'enfants racontent leurs maîtresses et leur quotidien après la classe.

Les auteurs appliquent la philosophie à des activités physiques improbables : la course cycliste sous-marine, la natation synchronisée sur dromadaires, le lancer de biscuits, un concours de détestation des pingouins, etc. Des situations étranges en images et la tranquille absurdité des textes soulignent le caractère fondamentalement bizarre d'une extension infinie du principe compétitif.

Sur les pages du cahier gauche, apparaissent successivement les petits chaperons rouges ; tous regardent vers la droite. Sur chaque page du cahier de droite, figure un loup nouveau regardant vers la gauche. Reste à associer les images deux à deux, à son gré. Les plus jeunes découvrent que le contexte influe sur la lecture d'une image.

Une galerie de personnages deviennent prétexte à des jeux de langue. Chaque figure en page de gauche propose un supposé robot associé, en page de droite, à des facéties linguistiques.

Plusieurs bambins en grenouillère circulent à patinette sur un chemin. L'un d'entre eux veut absolument être devant les autres. La plupart continuent à leur rythme, certains sont même à contre-sens et le champion se retrouve vite loin devant, mais inexplicablement, il arrivera le dernier. Un album sur la compétition.

A travers les pensées et les actes qu'il prête à son nounours, un petit garçon raconte sa vie de tous les jours.

Chonchon se croit unique et se sait aimé, pourtant il a quelques inquiétudes. Il réfléchit tant et tant que d'autres "Chonchon" aux mille et une qualités viennent lui faire concurrence. Heureusement, Julie arrive, qui l'aime tel qu'il est. Une couverture de carton brut, un papier épais, un dessin travaillé comme au burin : dans de grands cadres noirs et jaunes, les chonchons s'agitent sur les pages. Le texte très lisible dit leurs conversations. Les fonds sont constellés de motifs donnant une impression de pochoirs sur ce beau travail d'impression. L'histoire en elle-même est douce et riante. Un album espiègle, délicat pour jouer et se rassurer, et découvrir le lien affectif qui unit l'enfant et son ours préféré. 6 ans et plus. (Livres Jeunes Aujourd'hui).