"La maîtresse de mon mari" débute par la mort d'Andréa, la maîtresse du mari de Béatrice. Christian avait fini par rompre avec elle, mais elle demeurait présente dans la vie de Béatrice. Lorsqu'elle-même s'est à son tour séparée de Christian, l'ancienne maîtresse n'a pas disparu pour autant : les deux femmes sont restées proches l'une de l'autre. Maintenant qu'Andréa vient de disparaître, Béatrice s'interroge : s'il n'y a pas eu rivalité entre elles deux, c'est peut-être qu'il y avait autre chose...Un lien plus fort qui les a réunies toute leur vie sans qu'elles éprouvent jamais le besoin d'en parler. Et si c'était aussi une forme de l'amour ? (Bibliotéca magazine)

A voir cette longue jeune fille blonde que le décès de ses parents a rendue solitaire, qui penserait qu'il s'agit d'une prédatrice ? Pourtant, accueillie avec compassion par Fanny, sa marraine, Marie-Claire n'hésite pas à se servir de son émouvante jeunesse pour tout bouleverser dans ce foyer jusque-là paisible. La jeune fille séduit secrètement Alain, le mari de Fanny...

La veille du jour de l'an, Maxime déclare à sa compagne Emmanuelle qu'il va passer les fêtes avec une autre femme, tout en l'assurant qu'il prévoit de mettre un terme à cette relation et qu'elle doit attendre son retour.

Louis n'a jamais oublié son amour de jeunesse, Eléonore. Judith, sa nièce, s'interroge sur l'époque actuelle et sur le pointillisme amoureux. Rêvant du grand amour, elle décide de retrouver Eléonore pour son oncle.

Constatant la place des femmes et de leur corps dans la société actuelle, M. Chapsal interroge sur un ton caustique les réels progrès des luttes féministes, et invite les femmes à reprendre le contrôle d'elles-mêmes en se libérant du regard masculin.

Des conseils pratiques, juridiques et économiques pour les personnes accompagnant des malades atteints d'Alzheimer.

Trois couples, trois histoires d'amour et de haine... Catherine espère le retour de son mari qui l'a quittée sans la prévenir. Lors d'un été à l'île de Ré, elle s'éprend de Maxence. Deux de ses amies, Hélène et Béatrice, tentent de la dissuader de se lancer dans cette aventure amoureuse.

Vivien aime si également ses trois enfants que lorsque le temps est venu pour de lui de préparer son héritage, il n'arrive pas à choisir. Le notaire lui propose une solution juridique : l'indivision. "Ils se débrouilleront entre eux après votre décès, chacun prendra ce qu'il préfère ! Vous ne pouvez pas le faire à leur place..." Si Vivien est convaincu d'avoir fait de son mieux pour le bien des siens, à sa mort commence le drame, les drames : ces frères et soeurs qui s'entendaient, semble-t-il, jusque-là, se révèlent intransigeants, entêtés, procéduriers, odieux. La discorde, puis la haine, s'installent peu à peu. C'est hélas très fréquent en cas d'héritage : si les dissenssions prennent une violence extraordinaire, c'est que le partage de ce qu'il reste des parents remet en jeu tout ce qu'on a vécu avec eux sur le plan affectif : ce qu'on a eu, ce qui a manqué, ou qu'on croit qui a été refusé à l'un pour être donné à l'autre ! (Bibliotéca Magazine)

L'auteure traite de la mort, de celle des aïeux, des proches, et aussi de celle de ses contemporains. Elle évoque sa mère atteinte de la maladie d'Alzheimer, son émotion face à la mort d'autrui, le décès de l'acteur B. Giraudeau ou encore la question du devoir de mémoire énoncée par A. Finkielkraut. ©Electre 2022

21 entretiens parus à l'origine dans l'Express dans lesquels M. Chapsal brosse des portraits intimistes de monstres sacrés tels que G. Bataille, T. Tzara, J.-P. Sartre, A. Breton ou encore J. Lacan en même temps qu'elle livre des réflexions sur la littérature, la création ou la politique. ©Electre 2022

Des vieilles dames protégées par des hommes de l'agence Mâle-Escorte sont assassinées. Toutes les hypothèses sont permises. Mais pourquoi les violettes de Parme trouvées sur chaque cadavre sentent-elles le vétiver ? Deux enquêteurs tentent d'éclaircir ce mystère, l'inspecteur Lavialle et mademoiselle Groseille, détective privé, qui rêve de coiffer l'inspecteur au poteau.