Sur une île grecque, une femme attend depuis quinze ans le retour de son mari parti à la guerre, avec son fils qui a grandi sans père. Sa demeure est envahie d'intrus qui la convoitent et qui se montrent de plus en plus agressifs. Une relecture moderne de L'Odyssée du point de vue de Pénélope. Premier roman. ©Electre 2022

Du fond de son fauteuil, une vieille demoiselle pleine de malice écoute ses amis raconter sept étranges histoires où se glisse l'ombre d'un criminel inconnu.

Le festin nu paru à Paris en 1959 est extrait d'un matériau d'un millier de pages qui ont donné également naissance à La machine molle, Le ticket qui explosa et Nova Express. Les écrits restants ne furent retrouvés qu'en 1984. Ces fragments narratifs et lettres inachevées permettent de reconstituer la genèse du Festin nu et de William Lee, double de l'écrivain.

Deux meurtres, un même suspect.

Quelques vieux amis se réunissent tous les mardis : à tour de rôle, chacun raconte une hystoire mystérieuse, un crime ou un mystère que la police n'est parvenue que longtemps après, et par hasard, à élucider. C'est à chacun de proposer une solution, avant de connaître le mot de l'énigme que Miss Marple a presque toujours deviné

Les lettres adressées par W.S. Burroughs au poète Allen Ginsberg entre 1953 et 1957, année où il écrit son célèbre roman "Le festin nu".

Deux meurtres, un même suspect.

Mr Satterthwaite  est un vieux monsieur  charmant. Pourtant,  où qu'il aille,  des drames éclatent,  et c'est là qu'avec  le mystérieux  Mr Quinn, dont  le visage restetoujours dans  l'ombre, il démasque  les coupables.  Mr Satterthwaite  ne serait-il qu'uninstrument entre  les mains  de Mr Quinn ?

Construit à partir de fragments dont l'unité est obtenue par le style et le ton, cet ouvrage mêle des séquences oniriques, des souvenirs, des impressions, des rencontres ou des dialogues. Une confession où l'auteur met en exergue ce qui a été important dans sa vie tourmentée.

Derrière la pureté romanesque de Virginia, son amie Vita Sackville West pressentait le mordant, la dent acérée de Woolf, bref, tout l'esprit critique de celle qui reste la plus brillante pamphlétaire d'Angleterre. Ces essais, tout en éclairant les analyses de Trois guinées et d'Une chambre à soi, mêlent le charme d'une conversation intime, à bâtons rompus, à l'indépendance d'une critique impressionniste. A la faveur d'une visite du presbytère hanté par les ombres des soeurs Brontë, de l'évocation du boudoir où Jane Austen cachait ses manuscrits, ou de la disparition de Katherine Mansfield, elle illumine le moment où, " sondant les eaux, les fonds, les sombres profondeurs ", une romancière " laisse son imagination dériver librement autour de chaque rocher et chaque crevasse du monde submergé dans les profondeurs de son inconscient ".