Il cherchait une actrice qui chante pour ses "Chansons d'amour". Depuis, leur complicité a grandi de film en film, et sur scène. Après avoir arpenté la jeunesse endeuillée du cinéaste dans la pièce "Le Ciel de Nantes", ils se penchent sur la filiation de la comédienne dans "Marcello mio", en compétition à Cannes.

En 2044, une femme est contrainte de revivre mentalement ses existences passées. Léa Seydoux subjugue dans cette dystopie romanesque qui mêle les genres de cinéma avec audace.

Un couple à la différence d'âge flagrante, sous le regard d'une actrice venue s'inspirer de leur sulfureuse histoire. Natalie Portman et Julianne Moore troubles et troublantes, dans un film virtuose.

Des débuts précoces, un diplôme à Harvard, un Oscar... A 42 ans, elle n'a plus rien à prouver. Mais elle surprend encore en actrice ambiguë dans un nouveau film, qu'elle a coproduit.

Elle s'est fait connaître avec son film "Suzanne" et la série "Le Monde de demain". Fascinée par les histoires de famille, la réalisatrice fouille cette fois son propre héritage, marqué par la guerre et le non-dit.

Dans un collège d'Anatolie, deux jeunes profs se morfondent. Arrive l'intense Nuray... Une fresques majestueuse et profonde sur le temps qui passe et la valeur des sentiments.

L’acteur américain n'a jamais renoncé à son rêve : travailler avec les plus grands cinéastes dans des œuvres populaires taillées pour les Oscars. Leonardo DiCaprio donne la réplique à De Niro dans « Killers of the Flower Moon » de Scorsese.

Un grand art de la dérision, du décalage et, mine de rien, une érudition sans faille. Sous diverses formes, la comédie à la française fait son retour. Baya Kasmi, Quentin Dupieux, Louis Garrel... les cinéastes qui nous réjouissent ne ménagent pas leur peine. Sommaire. Vous allez rire. Drôles de drames.

Dans cette famille abritant un secret, l'apprentissage du fils, futur cinéaste, prend des allures romanesques. Le réalisateur raconte sa jeunesse. Magistral, et bouleversant.

Cet admirateur de Bacon et de Kubrick se rêvait ingénieur du son. Il est devenu cinéaste pour mettre en lumière les invisibles de la société. Les sans-abris, les marginaux... Et aujourd'hui, les très vieux, dans un beau documentaire. Pour conclure l'interview : la critique du film en page 46 par Louis Guichard.

Depuis "L'Inconnu du lac", Alain Guiraudie n'est jamais là où on l'attend. Celui qui se dit communiste mystique ne cesse d'explorer les mystères du désir. À sa manière : décalée, poétique. Et, dans "Miséricorde", amorale. En conclusion de l'interview, voir la critique du film "Miséricorde".