Miser tous ses pions sur des mégaprojets n’est pas la meilleure façon de sortir de ses problèmes endémiques.

Le retrait américain, loin de provoquer le chaos, semble au contraire apaiser les tensions dans le Golfe.

Le Hamas belliqueux, Israël déterminé, Biden ambigu, l’Europe en service minimum, l’ONU comme toujours ankylosée.

Avec l’arrestation de l’ancien prince héritier de Jordanie, le divorce est bel et bien consommé au sein de la famille royale.

La faiblesse européenne face aux exigences d'Erdogan ne fait que renforcer – une fois de plus – l’autoritarisme du président turc.

Sa tentative de s’imposer comme nouvelle puissance diplomatique se heurte à l’ambiguïté américaine et aux inimitiés du monde arabe.