Analyse d'un certain nombre de paradoxes tel le fait qu'on désire ce qu'on n'a pas ou encore l'exigence absolue et intenable faite à la personne aimée de partager la totalité de ses propres goûts. Une parodie des livres de conseils pratiques visant à montrer comment s'y prendre pour faire de soi son pire ennemi.

La réalité des choses n'est perceptible et communicable qu'au moyen d'intermédiaires, ce qui, inévitablement, l'altère. Cet ouvrage, d'une grande rigueur, mais néanmoins très accessible, démontre à l'aide de moults exemples la complexité communicationnelle à laquelle nous sommes quotidiennement confrontés.

Une tentative pour comprendre et approfondir les recettes qui mènent infailliblement à l'échec.

Les contributions exposent les concepts théoriques de la thérapie brève, consistant à déconstruire la réalité répétitive et close élaborée par le patient pour ouvrir à d'autres constructions possibles, ainsi que son approche stratégique et son application pratique. Une réflexion qui constitue un apport à l'école de Palo Alto. Electre 2015

Une tentative pour comprendre et approfondir les recettes qui mènent infailliblement à l'échec. ©Electre 2021

Ce volume présente la somme collective des travaux de l’École de Palo Alto : on y trouvera, entre autres, des articles de Paul Watzlawick, John H. Weakland, Don D. Jackson, Janet H. Beavin... L’ouvrage propose à la fois des exposés théoriques et des analyses de cas concrets, souvent spectaculaires, où l’on voit en acte la méthode de la thérapie familiale. Une même préoccupation anime tous ces textes : montrer que la maladie mentale n’est pas seulement un état affectant un individu, mais aussi une fonction que celui-ci reçoit à l’intérieur d’un système dont il fait partie, en l’occurrence, la famille. Au sein de la famille, l’attribution du rôle de « malade » sert souvent à masquer tous les autres problèmes. Il s’agit alors de modifier l’ensemble du système pour que le « malade », mais aussi les autres, soient libérés de leur rôle et que se défasse le tissu des double binds dont ils sont prisonniers. Un recueil indispensable pour comprendre l’approche de Palo Alto, ses ambitions et ses méthodes.

Une scène de ménage de la pièce de théâtre Qui a peur de Virginia Woolf, où le sujet est soumis à des ordres contradictoires, fournit le modèle double bind (double contradiction) de cas de pathologie de la communication. En relation avec les travaux de Bateson, les chercheurs de Palo Alto appliquent les modèles logiques et cybernétiques au pathologique et au normal humain.