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Centre Multimédia Don Bosco Section adultes 75 BON Disponible
Auteurs :
Année de parution :
1993
À travers une partie de l'oeuvre de l'Italien Sironi (1885-1940), proche de De Chirico, et du Suisse Klee (1879-1940), Alain Bonfand envisage une esthétique de la donation dans la continuité de la phénoménologie : la fonction de la peinture est de faire apparaître ce qui n'apparaît pas : l'"invu", le non encore visible. En mettant en regard les œuvres de Klee et de Sironi, cela aux deux extrémités de l'expérience artistique et en opposant l'angoisse et l'ennui, l'auteur cherche à comprendre le tableau comme phénomène par excellence. Et comme tout oppose ces deux œuvres et ces deux peintres, l'angoisse et l'ennui trouvent à se montrer exemplairement et selon deux ordres de phénoménalité antagonistes. C'est alors que, poursuivant cette idée de montée à la forme, Alain Bonfand s'emploie à voir, à faire voir, à décrire, cette montée à la visibilité de l'œuvre à notre regard.
Editeur :
Collection :
Mobile matière (Paris)
Importance matérielle :
1 vol. (199 p.) : ill., couv. ill. en coul. : 20 cm
9782729108946
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B3 Centre de ressources Réserve 0 En réserve
Année de parution :
1994
Antonio Saura est né en 1930 à Huesca. Son enfance est marquée par la guerre civile espagnole. A 17 ans, au cours d'une longue maladie, il commence à peindre. Autodidacte, proche des surréalistes à ses débuts, Saura est hanté par l'histoire tragique de son pays. Fasciné par la peinture de Velázquez, Goya ou Picasso, il élabore, de série en série (Crucifixions, Foules, Le chien de Goya), une œuvre violente et passionnée.
Editeur :
Collection :
Mobile matière (Paris)
Importance matérielle :
173 p. : couv. ill. : 20 cm
9782729110345
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B3 Centre de ressources 8(092) BUT En réserve
Auteurs :
Année de parution :
1993
On n'est jamais trop prévoyant lorsqu'on prépare sa postérité. Mieux vaut se prémunir contre les insuffisances des critiques, anticiper les interprétations des chercheurs... Et, pour cela, quelle meilleure méthode que le « prétestament littéraire » où l'on réunit soi-même les écrits pleins de sel qui vous défendront contre tout malentendu ? Mais, alors que beaucoup se seraient trahis plus que servis dans cet exercice périlleux, Butor, loin de l'autocélébration, nous livre un témoignage clair et sincère reflétant l'itinéraire d'un écrivain dans son siècle : une limpide leçon de littérature. Le livre a d'ailleurs été conçu ainsi. Alors qu'approchait l'heure de la retraite, l'auteur de la Modification a élaboré, en guise d'adieu à ses étudiants de l'université de Genève, un dernier « cours ». Un cours consacré à ses propres livres qu'il propose comme « exemples d'un parcours dans les problèmes rencontrés par les écrivains français depuis la fin de la dernière guerre... » Bousculer les thèmes et les genres consacrés, c'est bien ce qu'en trente ans et quelque 530 ouvrages (!), Michel Butor ne cessera plus de faire. D'où, dans la suite de ces Improvisations, une large part laissée à l'analyse et à la justification des recherches littéraires. Comme une maîtresse de maison ne pouvant résister au plaisir de vous détailler ses recettes, Butor met à nu les échafaudages de ses œuvres. Chaque page fourmille ainsi d'aperçus sur la création littéraire. Après la profession de foi littéraire du grand écrivain, et à mille lieux de toute construction savante, voici la plainte sincère – mais aussi les enthousiasmes, les projets, les espoirs – d'un homme qui se présente humblement comme un « enfant vieilli, inquiet de passer aux aveux... » Florence Noiville, Le Monde
Editeur :
Collection :
Mobile matière (Paris)
Mobile matière (Paris).
Importance matérielle :
307 p. : couv. ill. : 20 cm
9782729109615
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