Le groupe belge explore de nouveaux territoires avec ce quatrième album. Les deux compositeurs Maarten Devoldere et Jinte Deprez s'abandonnent à une écriture enjouée et honnête et démontrent une nouvelle fois leur talent. Ils s'adonnent à une vision moins sérieuse pour redonner un souffle à leur son, moins mélancolique tout en gardant ce qui a fait le succès de leur précédent projet. (Electre)

25 illustre une carrière unique rassemblant les morceaux iconiques du groupe aux côtés de huit nouveaux titres totalement inédits avec des invités de marque tels que Band Of Skulls et Steve Mason (ex Beta-Band). (Electre)

Après plus de 5, Bohren & der Club of Gore sortira leur huitième album studio 'Patchouli Blue' le 10 janvier sur [PIAS] Germany Recordings. Le groupe, culte, est un véritable modèle largement reconnu par une importante fan base autour du globe. Ils sont toujours restés fidèles à leur son jazz/ambiant et ce depuis leur premier album en 1994. Créant une oeuvre unique depuis une vingtaine d'années mêlant saxophone, piano, rhodes Fender, vibraphone et batterie jazz, le groupe poursuit sa route instrumentale, posée, calme, avec un nouvel album Patchouli Blue. (Electre)

Dans cet album qui est une célébration, le flamboyant David Linx et le Brussels Jazz Orchestra revisitent avec bonheur le répertoire du "Grand Jacques". On y découvre plusieurs Brel : le créateur d'un répertoire universel et intemporel bien sûr, mais aussi l'auteur qui a su fouiller le tréfonds de l'âme et le compositeur dont la musique swingue et groove grâce à l'un des meilleurs grands orchestres jazz de la planète. (Electre)

Le quatrième album du groupe surprend par l'écriture, plus directe, les structures des chansons sont différentes, moins rock, et reposent plus souvent sur le rythme de la marche.

Ce septième album ne ressemble à aucun autre... et à tous à la fois ! Surement grâce à Yann Tiersen qui en a assuré la réalisation...

Après le succès de It's a pleasure sorti en 2014 le dandy britannique revient avec un cinquième album sur lequel on retrouve sa voix grave et son chanter-parler reconnaissable entre mille. (Electre)

Le dixième album studio du groupe est sans aucun doute le fruit d'un travail subtil redéfinissant leur approche unique de la musique américaine, mêlant du rock folk, de la post-punk, du jazz spirituel, de la blues country, de l'improvisation avant-garde et l'âge d'or du rock'n'roll. Aux côtés des compositions originales de Gano, l'album offre deux réinterprétations incroyables dont "I'm not gonna cry" de Pyx Lax, et "God bless america" d'Irving Berlin. (Electre)

Après Dark days + Canapés (2017), il poursuit sa route avec un album dystopique qui s'inscrit profondément dans notre époque où il dépeint le malaise universel et l'anxiété que nous pouvons ressentir à l'aube de cette nouvelle décennie. Enregistré à Londres et composé, arrangé et produit par Ghostpoet, I grow tired... incorpore une myriade de sons et de styles mais reste ancré dans le rock alternatif présent dans ses deux albums précédents. (Electre)

Plus de 15 années d'existence ponctuées par 6 albums studio. La carrière des anglais peut enfin se prévaloir d'un best of. L'heure du premier bilan a enfin sonné pour la formation de Tom Smith, leader du groupe mythique. Légitime et indispensable, cette rétrospective rassemble 13 chansons piochées dans la discographie du quintet de Birmingham incluant leurs plus gros tubes tels que Munich, Papillon, An end has a start, Ocean of night - le tout enrichi de 3 morceaux inédits : Upside down, l'hymne des festivals d'été, Frankenstein, et le dramatique Black Gold ainsi que 8 versions acoustiques exclusives. (Electre)

Première parution sous son nom de Liberty Ellman depuis la sortie d'Ophiuchus butterfly en 2006. Membre depuis plus de 15 ans de l'ensemble Zooid d'Henry Threadgill, le guitariste (également ingénieur du son pour Steve Coleman, Sam Rivers, Mike Ladd, Gregory Porter, etc) s'est aussi signalé aux côtés de Vijay Iyer, Joe Lovano, Myra Melford, Greg Osby, Wadada Leo Smith et Butch Morris. (Electre)

Ce qui pourrait sonner comme une formule passe-partout chez beaucoup d'artistes s'impose comme une véritable déclaration de foi pour Roscoe. Trois ans après Cracks, premier disque bluffant dans son émotion brute et son intelligence, les cinq membres de la formation belge affirment leur identité -et leur différence- avec cet album tout en nuances réalisé par Luuk Cox (Girls In Hawaii, Stromae, MLCD).