Présentation de dix projets de constructions nouvelles et de rénovations à faible consommation d'énergie. L'accent a été mis sur l'aspect financier : pour chaque habitation, une balance est établie entre les investissements réalisés et les primes et autres aides de l'Etat qui sont d'application.

Présentation des rues des dix-neuf communes qui constituent Bruxelles. Lieux de nombre d'anecdotes, certaines évoquent le monde de l'argent et des corporations, d'autres portent des noms bibliques, d'autres encore ont changé de nom en fonction de l'histoire...

Retrace l'histoire des fontaines de Bruxelles, de l'origine de la ville jusqu'à nos jours, évoquant sa fonction sociale originelle et sa fonction décorative actuelle. Invite à découvrir la capitale belge à travers son patrimoine.

Dans un enchevêtrement de lignes et de courbes, le photographe livre une vision expressionniste et fantomatique de cet outil industriel qu'est le port d'Anvers. Les photos de conteneurs, de porte-conteneurs, de grues, etc., sont marquées par les dichotomies opacité-transparence, apparence-réalité.

Avant d'être le très efficace commissaire général d'Europalia Italie, Patrick, le père d'Amélie Nothomb, fut un de nos plus grands diplomates, et pas seulement parce que, en 1964, il a largement contribué au sauvetage de l'immense majorité des ressortissants étrangers de Stanleyville. Sa carrière, qui le conduisit surtout en Asie, et notamment plus de 13 ans au Japon, fut non seulement l'une des plus longues de l'histoire de notre diplomatie, près de 42 ans, mais surtout l'une des plus originales. Désireux de comprendre les réalités politique, humaine et culturelle des différents pays où il était en poste, il n'a jamais rien eu de plus pressé que de s'y immerger le plus totalement possible et de les traquer avec passion jusque dans les coins les plus reculés. Ce livre est le fruit de conversations familières entre deux grands amis d'enfance : son ton et son écriture sont ceux de la liberté, de la décontraction et souvent de l'humour. Il se lit dès lors comme un roman, mais un roman où tout est vrai, même les épisodes les plus extravagants ou les détails les plus cocasses. Jean-Marie Mersch et Patrick Nothomb, connu pour sa grande culture, deux fois primé par le parlement de la Communauté française de Belgique pour ses productions télévisuelles, Jean-Marie Mersch a fait toute sa carrière à la RTBE D'abord, pendant plusieurs décennies, à la télévision, où il a participé en permanence comme producteur et comme présentateur à la plupart des magazines culturels et signé d'innombrables monographies consacrées à des artistes et, surtout, à des écrivains, aussi bien étrangers que belges. Puis, à la radio, où il a notamment créé la «Chronique du Livre» du journal parlé et présenté, sur Musique 3, le magazine culturel «Polyptyque».

H. De Ridder a basé son travail sur une soixantaine d'interviews d'amis ou d'adversaires. Il a aussi utilisé une quantité impressionnante de documents publiés par des confrères. Jean-Luc Dehaene n'a cependant pas eu accès à la conception de cette biographie qui nous mène du jeune Brugeois rebelle à l'homme d'Etat d'aujourd'hui.

Evenement majeur de l'histoire économique de la Belgique, la débâcle de Fortis aura eu des effets dans tous les domaines : image du pays, économie, politique, magistrature, contribuables, actionnaires, etc. Les auteurs ont enquêté pour comprendre comment la catastrophe a pu toucher en quelques heures un groupe financier qui a mis vingt ans à se construire.

Afin de mieux percer l'âme de la Wallonie, les auteurs ont parcouru ses villes et ses campagnes à la découverte de ses demeures et de ses endroits cachés. Leur variété et la personnalité de leurs propriétaires contribuent à forger l'identité de cette région réputée pour son art de vivre.

L'influence de la Chine sur la production de la manufacture de porcelaine de Tournai aux XVIIIe et XIXe siècles est présente dans les pièces aux décors extrêmes-orientaux et au raffinement des chinoiseries.

Un parcours dans l'oeuvre de P. Livemont qui, après des études à l'académie de dessin de Saint-Josse, approfondit sa formation de peintre-décorateur à Paris. Il fut associé à de grands travaux (décoration de l'Hôtel de Ville, décors pour le palais Garnier...), produisit des affiches rivalisant avec celles de Mucha, réalisa des peintures décoratives, des panneaux de céramique, des sgraffites, etc.