C'est le soir. Le magasin de jouets vient de s'éteindre. A l'intérieur, les jouets discutent, à voix basse... (Quatrième de couverture)

Avec Mimi, la petite souris, compter jusqu'à dix c'est facile ! Une coccinelle sur le bout du nez, deux marguerites devant la maison, huit canards dans l'étang... et le tour est joué !

Courriers, circulaires, formulaires, rapports, notes, factures... les plus incroyables perles émanant de la police, gendarmerie, trésor public, SNCF, sécurité sociale, éducation nationale, justice et ministères divers. (Livres hebdo : livres du mois, 4, 1999)

Parce que mon papa, je ne le connais pas : maman, raconte-moi

Le parcours d'une jeune femme retrouvée, une balle dans la tête, au pied de la lettre H de l'enseigne Hollywood qui domine Los Angeles depuis le mont Lee. Dénommée Jane Doe, la miraculée amnésique se rétablit à l'hôpital de Los Angeles.

Lydia Strong, auteure d'un best-seller sur des faits divers sanglants, s'est retirée dans une maison isolée de Santa Fe. Elle est hantée par le souvenir de la découverte quand elle avait quinze ans de sa mère assassinée et violée. Après plusieurs disparitions mystérieuses dans la région et devant le peu d'intérêt de la police locale, Lydia fait appel à Jeffrey, un ami, agent du FBI. (Livres Hebdo)

A la suite d'une opération médiatique manquée, des stratèges de l'édition organisent un périple culturel dans d'anciennes colonies françaises. Christophe de Frontenac, éditeur, Mamantique, vieille dame farfelue qui a perdu la mémoire et Vénus, qui prétend être sa fille, sont du voyage. Entre Christophe et Vénus, une histoire d'amour se tisse, qui va faire renaître les souvenirs de la vieille dame.

Alexandre de Macédoine a vingt ans. Il ne connaît de l'amour que celui des hommes quand sa mère lui donne pour esclave Pancaspé. Avec elle, il découvre un plaisir si nouveau qu'il demande au grand peintre Apelle de la représenter nue, pensant ainsi pouvoir percer l'énigme de la beauté et de la passion qu'elle suscite. Au-delà d'un portrait inattendu d'Alexandre le Grand, Anne-Marie Lugan-Dardigna évoque avec une grande subtilité les rapports ambigus entre le prince, le peintre et son modèle, le jeu du désir et de la fascination, du pouvoir et de la frustration.

Face à la rapacité des Allemands et aux menaces de bombardements, les toiles du Musée du Louvre sont cachées dans des demeures privées et des châteaux, notamment celui de Cieurac dans le Lot. En 1942, Roland Courrèges veut échapper au trvail obligatoire. Parlant allemand, il accompagne le conservateur Hourrens à Paris. (Télépro)

Un livre d'images pour les tout-petits, pour découvrir et reconnaître les animaux.

Voilà un mythe qui a la vie dure. On croit qu'ils appartiennent au monde révolu de l'Ancien Régime, on s'aperçoit qu'ils sont plus nombreux que jamais, au point de se demander : que serait la France sans eux ? On les trouve partout, à la tête des entreprises, sur les listes électorales, dans les lieux à la mode ou à la une des médias. Ils ont même l'audace de revenir dans les gouvernements de la République, comme si 1789 n'avait jamais existé. Et pourtant, les rois leur ont toujours préféré les bourgeois ou les cardinaux, ils n'ont jamais eu le pouvoir et chaque fois qu'ils ont dominé, ils ont échoué. Quant à l'argent, pour la plupart, ils n'en ont plus. Alors, pourquoi continue-t-on de les aimer ? Pour leur chic, pour leur allure "pas comme les autres" ? Peut-être. Mais surtout parce qu'ils sont les seuls à porter un nom qui, depuis mille ans, donne son identité, non seulement à leur famille, mais à notre vieux pays de moulins et de fées, la France. Pierre Miquel, républicain convaincu, dresse, avec un talent magistral, le portrait iconoclaste de l'aristocratie française, de Clovis à nos jours.