Dernier recueil posthume du poète qui donne à lire l'amour et la vie s'étreignant dans les mots, avec un enthousiasme intact.

Cycle de poèmes sur les poètes ayant combattu pendant la Première Guerre mondiale et les liens entre guerre et création. Ecrit à l'occasion d'une exposition de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg sur les poètes dans le conflit. (Electre)

Ce recueil de textes divers, composé sur plusieurs décennies et en trois parties, entre prose et poésie, est animé d'une cohérence inattendue et plonge le lecteur dans un univers surréaliste. Electre 2015

Un recueil de 100 poèmes divisé en sept parties, composés dans la pénombre à la suite d'une opération de la cataracte. La poétesse explore une série d'oeuvres musicales d'hier et d'aujourd'hui en cherchant à transcrire ces créations sonores en mots, de Monteverdi à Janacek en passant par Couperin et Billie Holiday. Electre 2014

Mille poèmes de quatre vers sur divers thèmes comme la nature, l'art ou encore la ville de Venise. ©Electre 2019

Un recueil de poèmes qui témoigne d'une lutte contre le renoncement et le désespoir. En s'accrochant aux réalités les plus simples, la poétesse exprime sa volonté de vivre et sa lucidité sur la fragilité de la condition humaine. ©Electre 2016

Une réflexion sur le quotidien à travers le portrait d'E. Stein telle que la révèle sa correspondance : enjouée, tendre, libre et ouverte.

Une méditation autour du vide : vide intérieur et écriture comme expérience du vide.

Keats annonce la désincarnation moderne. Mais en sauvant la beauté au prix de sa vie même, en incarnant alors le " poétique ", il est à la fois un objet, un animal, un vase, une fleur : son identité se déduit de son absence à lui-même. La poésie redevient chemin vers la vérité, union - non plus lien, religion, mais union du mot et de la chose, de la vie rêvée et de l'innocence en construction. Keats propose un contre-modèle, qui ouvre à la Modernité et préfigure Baudelaire. Le poète désacralise le langage, mais dans le même mouvement, il fait de l'allégorie poétique la seule réalité accessible, déchiffrable. Le poète fuit un monde qui redevient barbare, qui invente une industrialisation de la Barbarie. Plongeant dans l'Absolu de la Beauté " A thing of beauty is a joy for ever "), il sacrifie la poésie ancienne, ses mythes, sa sacralité, se fond dans l'énigme du monde pour inventer un devenir au poète dans la modernité qui le nie : l'invention d'une allégorie nouvelle, le passage ultime de l'expérience à l'innocence - mais éprouvée comme une expérience humaine de notre présence au monde poétiquement familier et inconnu. Loin de Pindare et déjà loin des Odes de Coleridge, les Odes de 1819 sont un tournant et sont aussi le centre de l'oeuvre de Keats. La chanson mortelle et éternelle du Rossignol se répand, de siècle en siècle - mais le poète sait bien que l'oiseau meurt et revit autre et identique, comme le poème traverse le temps et le sens pour surgir, toujours premier, toujours victime, pour témoigner du fragile sentiment d'éternité qui habite l'improbable cri humain dans la nuit prénatale des espaces infinis et pourtant entropiques, comme le souvenir...

Recueil de quatre récits. La lune noircie raconte l'histoire de l'étrange petit Jonathan. Lève-toi et marche évoque la mort de René Koltz, le mari d'Anise Koltz, torturé à mort par les nazis. Cette figure réapparaît dans L'Irlande. Prix de littérature Jean Arp 2009

Ce recueil de quatre-vingts poèmes répartis en huit suites de dix poèmes constitue une plongée dans l'inconscient de l'homme. Bien au-delà de l'individu, se dégage un sentiment profond d'un souvenir et d'un appel, comme une nécessité psychique ou une exigence spirituelle.

Ce roman paru en 1984 mêle poésie, théâtre, autobiographie et histoire. Prix européen de littérature 2009.

Recueil d'une cinquantaine de poèmes de quatre strophes de quatre vers chacune, composé par B. Vargaftig à la mémoire de son fils décédé en 2004. Le poète est lauréat du prix de littérature Nathan Katz 2007.

Comprend sept parties : Brume, N'importe où, Entre-deux, Cinéma muet, Bord (ces trois dernières sont écrites en prose), Printemps, Un petit bruit. Le poème saisit l'insaisissable et l'indéfinissable pour en laisser une trace sur la page.

Joze Mlakar n'entendait rien de tout ça, il regardait l'oeil de la caméra dans lequel se reflétait sa petite image, toute petite, qui sombrait dans la surface lisse et calme sous laquelle se trouvait le tourbillon invisible de millions d'yeux : il regardait le gouffre profond qui, il le sentait, l'attirait irrésistiblement. Drago Jancar.

Recueil de poésies.

Une réflexion sur les raisons de l'échec partiel de la politique d'intégration et de cohésion interculturelle en France. ©Electre 2017

Une autobiographie inclassable, entre observation, spiritualité, philosophie et poésie, dans laquelle l'écrivain anglais (1848-1887), spécialiste de la nature, propose une vision du monde originale, dépassant les concepts habituels des religions. ©Electre 2019

Inspirée par le Talmud, Zoharet par les diverses traditions du judaïsme, cette méditation fait découvrir le symbolisme des lettres hébraïques et montre comment sa compréhension intérieure constitue un chemin privilégié pour déchiffrer l'énigme de la vie. L'objet de l'auteure est de faire comprendre le rôle des lettres dans l'acte créateur et donc dans la signification du monde.Les carnets spirituels

La pensée de Shankara (788-820), commentateur de la tradition classique et fondateur de l'Advaïta Vedanta, est ici présentée. Ce texte constitue une bonne introduction au corpus épars des commentaires. Une partie est écrite en prose, l'autre en vers.