Le 28 septembre 2014, Dhani Harrison, fils de George Harrison, organisait un concert hommage à son père au Fonda Theater de Los Angeles. Cet événement unique a été filmé et enregistré : il réunit sur scène plus d'une vingtaine d'artistes de la scène actuelle interprétant les chansons mythiques de la carrière du guitariste et membre des Beatles dont Ben Harper, Norah Jones, Brian Wilson, Nick Valensi (The Strokes), Black Rebel Motorcycle Club, Cold War Kids, The Flaming Lips, Karen Elson, Ian Astbury (The Cult), Britt Daniel (Spoon), Conan O'Brien, Jonathan Bates, Brandon Flowers (The Killers), Jamestown Revival, Chase Cohl, Ann Wilson, Perry Farrell (Jane's Addiction), "Weird Al" Yankovic, The Black Ryder, Butch Walker, Wayne Coyne et Dhani Harrison.

Depuis les débuts de leur carrière jusqu'à maintenant, AIC ont défié toute forme de catégorisation ou de moule. Aucune mode particulière au cours de leur carrière de 30 ans ne les a influencés à retourner leur veste pour devenir "plus populaires". Sur cet album, le style unique de batterie de Sean Kinney raconte une histoire épique, les lignes de basse d'Inez en racontent une autre, les prouesses de guitares et la voix de Duvall guident, racontent et nourrissent le triomphe et la torture de l'existence; l'écriture des chansons, la voix et l'approche désormais légendaire dans la maîtrise du riff de Cantrell se combinent pour une performance de haute volée. (Electre)

ABB : trois lettres qui interpellent ! Et pour cause, cet ABB nouvelle version est ni plus ni moins composé de Devon Allman, le fils du légendaire et regretté Gregg Allman, Duane Betts, fils de Dickey Betts, ainsi que de Berry Oakley Jr., qui est né 4 mois après que son père ait perdu la vie lors d'un accident de moto en novembre 1972. Ces 3 musiciens se sont réunis en fondant The Allman Betts Band, un septet haut en couleur, désireux de rendre hommage à leurs pères et perpétuer l'héritage du légendaire The Allman Brothers Band et du rock sudiste, par la même occasion. En une semaine, ils ont enregistré 13 chansons au légendaire Muscle Shoals Sound Studio en Alabama. Pas de montage numérique, pas d'ordinateur mais une prise en direct sur une bande analogique deux pouces comme ils l'ont fait pour Down to the river, leur premier album. Bless your heart capture un vaste panorama de tous les clichés que l'on connait des "Etats Unis d'Amérique" : scènes de la côte ouest et des côtes du Golfe ; les portes du Midwest et les marécages de Floride ; le grand ciel du Wyoming ; la Grosse Pomme de New York ; les larges épaules de Chicago. Et ce n'est pas pour nous déplaire.

Une sélection compilée avec amour de pièces solo du regretté batteur des Rolling Stones, Charlie Watts. Fan de jazz tranquillement révérencieux pendant toute sa carrière, il s'est sporadiquement essayé au genre sur une poignée d'albums et de projets solo lorsque l'occasion s'est présentée. 'Anthology' rassemble diverses performances en studio et en direct couvrant les années 70 aux années 2000.'Anthology' de Charlie Watts est une rétrospective affectueuse et un reflet de la fréquence à laquelle Watts a pu exercer ses muscles jazz entre les engagements des Rolling Stones pour créer sa propre discographie sur mesure.Les noms des héros de jazz de Charlie sont tombés de ses lèvres comme un superfan tournant les pages d'un album personnel. Charlie Parker, Gerry Mulligan, Chico Hamilton, Dave Green, Stan Tracey, Peter King, Courtney Pine, Gail Thompson, Brian Lemon, Gerard Presencer, le groupe Red Rodney et le collaborateur Jim Keltner. Il connaissait chaque joueur, chaque session, chaque album, chaque tenue qu'ils portaient sur la couverture, et il en parlait avec une vénération profonde et sincère. Il a peut-être été un héros mondialement aimé dans le plus grand groupe du monde, mais il a balayé tout compliment ou comparaison avec ses favoris musicaux. Il se considérait comme leur admirateur, jamais leur égal.L'anthologie comprend un essai approfondi de Paul Sexton qui documente la carrière jazz de Charlie Watt et les albums essentiels couverts dans la collection.

Fondé en 1974 par Robin Zander (chant, guitare rythmique), Rick Nielsen (guitare solo), Tom Petersson (guitare basse) et l'ancien batteur Bun E. Carlos, le groupe originaire de Rockford poursuit sa route avec ce 20e album studio. Véritable référence aux Etats-Unis où le groupe ne compte plus les hits (I Want You to Want Me, Dream Police, Surrender, The Flame) et les hommages rendus par plusieurs générations de musiciens, Cheap Trick tient une place assez particulière dans l'histoire du rock. Produit par Julian Raymond (Albert Lee, Fleetwood Mac...) avec qui le quatuor travaille depuis plus de 20 ans, cet album voit les musiciens faire ce qu'ils font mieux : délivrer inexorablement un rock'n'roll aux vertus indélébiles grâce à des chansons surdimensionnées, des paroles sympathiquement malicieuses et une énergie intacte.

Le guitariste incontournable revient avec son 26e album studio. Cet opus de 15

Travis, les géants de la chanson de Glasgow, reviennent avec L.A. Times, leur dixième album studio. Produit par Tony Hoffer (Air, Beck, Phoenix), L.A. Times a été écrit par Fran Healy dans son studio en bordure de Skid Row, à Los Angeles, la ville où il vit depuis dix ans. Il décrit L.A. Times comme lalbum le plus personnel de Travis depuis The Man Who .

Cheat Codes marque le retour de Danger Mouse. Cet album avec Black Thought réuni les plus grands du hip hop : Joey BadaSS, ASAP Rocky, Michael Kiwanuka, MF Doom, Run the Jewels...