Cette année, dès l'ouverture du spectacle, les Enfoirés font leur révolution au son de Je ne suis pas un héros, un morceau de 1980 signé Daniel Balavoine. Place, ensuite, à un show collectif ponctué de 17 tableaux aussi poétiques que spectaculaires à travers les époques. Les artistes se retrouvent tour à tour dans une grande bibliothèque pour revisiter On écrit sur les murs de Demis Roussos, avant d'être transportés dans l'univers d'Aladin ou sur les toits de Paris. Toute la troupe nous invite à prendre le large à bord du paquebot Mission Enfoirés pour une croisière avec pour capitaine Gérard Jugnot, à la recherche de sa dulcinée, une certaine... Belinda ! Après avoir pris l'air de la mer, retour sur la terre ferme avec la reprise d'Encore un soir de Céline Dion, Hello d'Adele, Le portrait de Calogero, Utile de Julien Clerc, L'orage de Georges Brassens, mais aussi Il est où le bonheur de Christophe Maé, Can't stop the feeling de Justin Timberlake ou encore Ça plane pour moi de Plastic Bertrand. Au programme également : un faux débat présidentiel enflammé entre Michèle Laroque et Patrick Bruel, soutenus par des militants très actifs ! Les nouvelles recrues Amir et Kendji Girac savourent chaque instant de leur nouvelle vie d'Enfoiré en coulisses et devant un public toulousain en feu ! Cette année encore, les sketchs et les parodies s'enchaînent avec notamment La belle au bois dormant dans lequel Michaël Youn prend les traits de... La reine des neiges ! Jeff Panacloc et sa marionnette, Jean-Marc, se lâchent comme d'habitude sur leurs nouveaux camarades ! Autre surprise de taille, Thomas Pesquet rejoint les Enfoirés... depuis l'espace puisque l'astronaute français a enregistré plusieurs phrases depuis la Station Spatiale Internationale. (Electre)

45 ans après avoir filmé le concert Live at Pompeii avec son groupe Pink Floyd, David Gilmour retourne, lors de la tournée pour son album Rattle That Lock, au légendaire amphithéâtre romain pour y donner deux shows spectaculaires filmés en 4K. Pendant deux nuits uniques, ces concerts de rock sont les premiers à se tenir dans l'amphithéâtre romain - là où combattaient les gladiateurs du Ier siècle - devant près de 2 600 personnes, David Gilmour Live At Pompeii - un spectacle audio-visuel, composé de jeux de lasers, de spectacles pyrotechniques et d'un écran géant sur lequel des films inédits spécialement conçus pour l'occasion accompagnent les rythmes de la guitare de David Gilmour - est avant tout une célébration de l'époustouflante musique et de l'interprétation extraordinaire de cet artiste. Le concert inclut des chansons de toute la carrière de David, ainsi que les plus grands classiques de Pink Floyd, dont One Of These Days, la seule chanson qui a aussi été chantée par le groupe lors de leur concert de 1971. Le concert comporte aussi une interprétation rare de The Great Gig In The Sky de l'album The Dark Side Of The Moon, que David Gilmour joue rarement en tant qu'artiste solo. (Electre)

Les cloches de l'enfer du groupe le plus rock de la planète résonnent à nouveau ! Tourné en 2009 au El Monumental River Plate Stadium, le programme marque le retour du groupe à Buenos Aires, où 200 000 fans et 3 spectacles à guichets fermés ont salué l'une des dates les plus spectaculaires du Black Ice World Tour des AC/DC. Réalisé par David Mallet et produit par Rocky Oldman, Live at River Plate a été tourné avec 32 caméras HD et dévoile la dernière tournée mondiale d'Angus Young & C dans toute sa splendeur. Incontournable !