Etat des connaissances acquises par la recherche sur les temps préhistoriques dans le sud-est de la France, de Lamotte-du-Rhône, en Vaucluse, jusqu'à la grotte du Lazaret, Terra Amata, vallée des Merveilles et mont Bego, dans les Alpes-Maritimes. Dans une seconde partie, des notices relatives à une quarantaine de gisements parmi les plus remarquables de la région PACA sont proposées.

Présente comment était perçue la maternité du XVIIIe siècle aux années 1920, le désir d'enfant des mères d'autrefois, la façon dont le petit était attendu, son accueil par la famille et la communauté villageoise, comment il était pouponné, langé, bercé pendant les premiers mois de sa vie, les rites autour des premières dents, des premiers pas, des premiers rires...

A l'occasion du 90e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, ce livre témoigne non pas des combats mais de la vie à l'arrière du front, grâce à de nombreux documents d'époque : cartes postales, correspondance, chansons, presse, artisanat du poilu, décorations et médailles, propagande, faire-part de décès, monuments aux morts, etc.

Reprend un manuel de 1830 destiné aux enfants de dix ans des écoles primaires qui présente un choix de 500 écritures pour s'exercer à la lecture des manuscrits (modèles d'actes administratifs, de factures, de lettres, de textes didactiques ou scientifiques...). Permet de s'entraîner à lire tout style d'écriture pour mieux déchiffrer les textes d'archives lors de recherches généalogiques.

Les années à Harvard du narrateur sont aussi les années de guerre en Irak. C'est à travers ce prisme que l'auteur raconte la vie sur le campus de l'une des universités les plus prestigieuses des Etats-Unis. Comment réconcilier l'insouciance de la jeunesse et le drame qui se joue au Proche-Orient ? Les étudiants se succèdent avec leurs drames personnels, leur vision du monde et de leur avenir.

Un essai sur la place et le rôle des universités européennes dans la diffusion et la pérennisation de l'identité culturelle européenne.

L'histoire, l'évolution, les inventeurs des objets de la vie quotidienne, sont retracés de pièce en pièce : salon, salle à manger, cuisine, chambre, salle de bains, buanderie. La mise en lumière des sauts techniques et législatifs fait ressortir des modes de vie oubliés.

Vous souvenez-vous des bons points, de l'odeur de l'encre et des tables en bois, des photos de classe sur trois rangs, du bruit des galoches, des mauvais tours et des punitions, de la chasse aux doryphores pendant la guerre, des billes et des marelles de la cour de récréation, de la remise des prix, de la fête d'école ? Ce beau livre décrit toute l'histoire des écoles primaires d'autrefois, du XVIIIe aux années 1960. L'histoire de la législation et des institutions, bien sûr, mais aussi l'histoire de l'instituteur, son recrutement, son passage dans les EPS si oubliées aujourd'hui, puis en école normale, sa première classe, les cahiers de présence à tenir, le passage de l'inspecteur, le départ à al retraite... Enfin, et surtout, il raconte l'histoire de l'élève, car nous sommes tous passés sur les bancs de l'école : les matières et leurs évolutions, y compris des cours de couture d'hier ; et tous les petits et grands moments scolaires, le premier jour, le premier copain, le fameux cartable, la récréation, la cantine, les punitions, le certificat d'études... l'émotion est là pour un sujet qui a fait battre ou trembler notre cur d'enfant.

Cet ouvrage propose le fac-similé d'un livre de morale datant de la fin des années 1880, destiné au cours élémentaire et rédigé par un inspecteur de l'enseignement primaire. L'introduction montre quelles étaient la présentation et la fonction des livres de morale au début du XXe siècle et propose quelques extraits d'un autre livre : La Première Année de récitation, avec 308 gravures de 1900.

«Il y a comme une pulsion pédagogique chez Alain Robbe-Grillet, qui contraste avec l'effort accompli par beaucoup d'autres artistes, qui furent ses contemporains ou le sont aujourd'hui encore, pour dissimuler au maximum les raisons et les modes de leur activité créatrice. Chez lui au contraire, dont l'oeuvre proprement dite fonctionne le plus souvent sur le mystère, la lacune, la répétition inexpliquée des thèmes, le cache et le manque, certaine volonté de faire la lumière sur soi écrivant ou filmant peut apparaître d'abord comme une bizarrerie de plus. En fait pourtant une application aussi persévérante mise à dévoiler ses propres secrets de fabrication correspond peut-être à une double et contradictoire exigence intérieure - contradiction qui n'est pas pour surprendre de la part de l'auteur de «Construction d'un temple en ruine à la déesse Vanadé» (une des sections du superbe roman Topologie d'une cité fantôme) ou du cinéaste de L'Homme qui ment. À la base de cette sorte peu commune d ' exhibitionnisme de la méthode et des procédés, on trouverait d'un côté certain paradoxal manque d'assurance, ou plutôt une angoisse de ne pas être suffisamment apprécié et compris, tout à fait étonnante si l'on considère la carrière jalonnée de succès de l'inventeur comblé du Nouveau Roman, passé ensuite avec une aisance dont bien peu d'écrivains sont capables derrière la caméra, et finalement accueilli à l'Académie française, un choix de couronnement qu'on suppose dicté à la fois par un désir de reconnaissance un peu enfantin et par le plaisir anticipé d'une séance d'autodérision spectaculaire... Maurice Mourier - La quinzaine littéraire, 15 décembre-31 décembre 2005

Ce récapitulatif des porte-bonheur rappelle l'histoire du fer à cheval, du gui, du trèfle à quatre feuilles et de tous les rites liés à la quête du bonheur et de la protection. Une fois le livre retourné, les principaux porte-malheur à éviter sont répertoriés.

Raconte l'histoire au quotidien des salles de classe d'autrefois, du XVIIIe siècle aux années 1960, de l'époque des précepteurs, des maîtres d'école et de l'illettrisme à celle des hussards noirs de la IIIe à la Ve République. Propose également différents portraits d'écoliers.