Amy Reed, la petite fille d'Olivier Reed et d'Alice - qui se mariaient à la fin de La féline - reçoit d'une étrange voisine, une bague exauçant tous ses voeux. Amy demande une camarade de jeux. Apparaît alors une jeune femme dont la ressemblance avec Irena, la première femme d'Olivier Reed, est troublante...

Agathe Renni est enceinte du marquis Fabio Colli. La faute pourrait être réparée si ce dernier épousait sa maîtresse. Il est cependant hors de question de divorcer. Le seul moyen d’éviter le déshonneur pour Agathe est d’arranger un mariage avec un homme qui accepterait, en toute discrétion, d’épouser la jeune femme. Après tout, ce n’est pas la morale qui importe, mais les apparences de la morale. Le marquis s’en ouvre à un de ses amis, Maurizio Setti qui pense à une de ses connaissances pour jouer le rôle du père putatif, Angelo Baldovno. « Être déshonnête m’a coûté des sacrifices d’amour-propre, une perpétuelle amertume, du dégoût, de la répulsion » - Acte I, scène 8.

Revenant victorieux d'une bataille, Macbeth rencontre trois sorcières qui l'accueillent en lui donnant trois titres différents : Duc de Glamis, Duc de Cawdor et futur roi. Puis, sans donner plus d'explications, elles disparaissent. Peu de temps après, deux seigneurs envoyés par le roi viennent annoncer à Macbeth qu'il le nomme Duc de Cawdor pour le récompenser. Macbeth fait part de cette rencontre à son épouse, mais elle le pousse tout de même à assassiner le roi.

Ce film est une invitation à découvrir l'omniprésence du dessin dans l'Égypte ancienne.

En compagnie de son valet Sganarelle, Don Juan, un seigneur revendiquant son goût pour la liberté, parcourt à cheval les routes du sud de l'Espagne, pour régler les affaires sentimentales de ces différentes conquêtes féminines. Dans un village, il humilie les gens qu'il rencontre en tuant ses ennemis et en séduisant des femmes qu'il délaisse ensuite. Un jour il promet le mariage à Elvire, une jeune femme qu'il a courtisé dans un couvent puis lui annonce sa décision de rupture. Elvire, outragée, lui crie son désir de vengeance et lance ses frères à sa poursuite. Mais Don Juan, intrépide, pense déjà à une autre femme et part en expédition sur un bateau. Après un naufrage il s'empresse de faire la cour à deux femmes à la fois, dont l'une est la fiancée d'un autre homme... (Electre)

Partenaires dans un numéro de danse, Fred est amoureux de Ginger , mais quand il lui demande de l'épouser, elle refuse. Par dépit, il s'engage dans la marine mais, au hasard d'une escale, son meilleur ami tombe amoureux de la soeur de Ginger...

Dans une petite vie de garnison, perdue au fin fond de la campagne russe, trois jeunes femmes, arrivées là avec leur défunt père, ancien commandant de brigade, rêvent de retourner à Moscou, où elles ont passé leur enfance. Diverties par les visites des militaires, les soeurs retrouvent un semblant de vie. Macha, mariée trop jeune à un époux ennuyeux, tombe amoureuse d'un commandant, Olga reprend goût à la vie et Irina se fiance à un lieutenant. Mais bientôt, sonne le départ des troupes, le fiancé de la cadette meurt en duel, et la solitude reprend ses droits sur l'existence de ces trois femmes désormais recluses et désillusionnées.

Bernard Pivot reçoit ici des auteurs qui viennent témoigner de leurs parcours lors d’un tour de table biographique sur la construction et la réalisation personnelles (ambitions de jeunesse, rapport au père, passage à l’âge adulte, les femmes, l’amour de la vie et la littérature…). Jean d’Ormesson se décrit comme « un vagabond qui passe sous une ombrelle trouée », titre de son dernier livre mais également phrase consacrée de Mao Tsé-Tong pour évoquer un homme libre n’ayant aucune crainte. Michel Déon divulgue ses souvenirs de la période de l’occupation à Lyon, lorsqu’il était secrétaire de rédaction du journal L’Action française. Marcel Jullian, démophile et démocrate, explique comment il a trouvé refuge dans la littérature tandis que Henri Vincenot, qui a passé sa vie en Bourgogne, préfère évoquer ses premiers souvenirs.

Romain Gary, a laissé derrière lui de nombreux romans (La Promesse de l’aube, Les Enchanteurs, Les Cerfs-volants…). Sous le nom d’Émile Ajar, il publie également La Vie devant soi qui obtient le prix Goncourt en 1975. Un pseudonyme apparenté à l’écrivain Paul Pavlowitch, présent sur le plateau d’Apostrophes. Bernard Pivot nous invite ici à redécouvrir les œuvres de cet artiste déchu au travers des diverses personnalités qu’il a empruntées. Son ami d’enfance François Bondy, l’auteur Michel Tournier et le psychanalyste Gérard Mendel tentent de cerner le personnage tandis que Paul Pavlowitch révèle ses secrets d’écriture et détaille leur collaboration.

Après avoir exploré les conceptions grecques de l’amour, d’Éros et Agapè, le philosophe André Comte-Sponville cherche à démontrer le lien qui unit le bonheur à l’amour.

Une plongée au cœur de Radio France, à la découverte de ce qui échappe habituellement aux regards : les mystères et les coulisses d’un média dont la matière même, le son, demeure invisible.