Le légendaire Brian Tristan retraverse sa jungle psychédélique avec un set de chansons volcaniques. Le grand guitariste voodoo qui a oeuvré au sein de Gun Club, The Cramps et The Bad Seeds se rapproche ici de ses premières influences : musique tribale, garage et rock chicanos, fort et fuzzy à souhait. (Electre)

L'album passe d'une mélodie proche des Beatles à une étrange combinaison de folk-psyché pour exploser enfin dans une migraine de batteries puissantes et de sauvages guitares surf. (Electre)

Fuzz se libère des attentes : Segall, Moothart et Ubovich abandonnent leurs doutes, leur soif d'accomplissement et autres banales contraintes. Plongé dans un profond salut, le trio fait preuve de divination. Il est question de San Francisco, Los Angeles, du ciel et des enfers, de champs lunaires, d'hallucinations souterraines, d'embouteillages, d'insomnies, de bribes de cauchemars et de pensées aveugles. Le résultat est lourd, savamment chaotique, doucement sinueux, incontestablement barbare. (Electre)

Duo originaire de Montréal connu pour ses performances lives époustouflantes, The King Khan & BBQ Show produit un mélange brut et survolté de doo-wop et de rock'n'roll aux accents soul et punk. Remplissant les salles les plus prestigieuses un jour et se faisant jeter d'un festival le lendemain, ces renégats du rock ont fait les quatre cents coups ensemble mais sont restés unis contre vents et marées. Après une pause de cinq ans, ils reviennent avec cet album qui porte le nom de leur ancien pseudonyme. On y découvre douze titres bourrés d'énergie allant de la soul de Buy bye bhai à la fougue juvénile de DFO. (Electre)

Le très attendu troisième album des légendes underground (vénérées pour leur show extravagants et explicites... ) ne decevra pas leurs admirateurs. Cet opus retourne aux origines doowop et rock garage qui ont élevé la réputation de Mark Sultan à la hauteur d'un Iggy Pop ou Jack White... (Electre)

C'est à Montréal, que les deux compères ont fait leurs premiers pas au sein du groupe punk garage underground The Spaceshits. Suite à la dissolution du groupe, Sultan voyage à travers le monde sous le nom de BBQ, one-man band atypique. Quand à Black Snake, il devient King Khan, à Hambourg, un maharaja de la super-soul des années 60. In the Red réédite aujourd'hui leur premier album, inclus deux titres bonus et un nouvel artwork. (Electre)

Charles Moothart, né à Laguna Beach, Californie, a commencé la guitare à 12 ans, est devenu batteur des Moonhearts qu'il a fondé avec Mikal Cronin à 16 ans. A maintenant 27 ans il a partagé la scène et le studio avec Cronin et Ty Segall, à la fois en solo et au sein du super groupe Fuzz. Dichotomy desaturated, son deuxième album solo, enchaîne les moments de calme et les riffs incendiaires à la Black Sabbath ou à la Stooges. (Electre)

On l'a récemment entendu dans le film Baby driver d'Edgar Wright. On lui doit le blues punk de Boss Hog, le neo-rockabilly de Heavy Trash et le noise rock de Pussy Galore. Souvent imité, jamais égalé, la légende originelle du rock underground new-yorkais est de retour avec douze tubes plus puissants les uns que les autres. Spencer sings the hits!est une mixture de R&B et de grooves dance subversifs, avec de vrais morceaux de garage punk calibrés pour la révolution, un cocktail Molotov de son garanti de soigner une gueule de bois post-moderne. Cet album a de l'excitation dans les veines et de l'énergie à revendre. Spencer ouvre son cour comme jamais, questionnant les conditions de vie de la société moderne avec des guitares caustiques et une voix de crooner d'outre-tombe.

Duo originaire de Montréal connu pour ses performances lives époustouflantes, The King Khan & BBQ Show produit un mélange brut et survolté de doo-wop et de rock'n'roll aux accents soul et punk. Remplissant les salles les plus prestigieuses un jour et se faisant jeter d'un festival le lendemain, ces renégats du rock ont fait les quatre cents coups ensemble mais sont restés unis contre vents et marées. Après une pause de cinq ans, ils reviennent avec cet album qui porte le nom de leur ancien pseudonyme. On y découvre douze titres bourrés d'énergie allant de la soul de Buy bye bhai à la fougue juvénile de DFO.

Cet album compile les 5 singles issus de la série d'enregistrements de 1992 à 2002. Ajoutez à cela une poignée d'inédits et vous obtenez ce petit bijou, reflet des jeunes années furieuses et effrénées de ce groupe mythique de l'histoire du rock.

Enregistré par Chris Woodhouse (Thee Oh Sees, The Intelligence), ce premier album du groupe du chanteur Ty Segall tire son inspiration des morceaux les plus ésotériques du heavy-métal, de Sabbath à Hendrix, en passant par le blues progressiste britannique de The Groundhougs ou la légende de la guitare Lobby Lloyde.

Dans la suite des instrumentations de Castlemania, Putrifiers II dépasse le cadre initial du groupe de garage rock californien et ouvre de nouveaux horizons musicaux, de nouvelles émotions, laissant libre cours à des influences aussi diverses que Scott Walker, The Velvet Underground, The Zombies ou encore le groupe expérimental japonais, Les Rallizes Denudés.

Initialement prévu comme deux Ep distincts, à l'écoute des bandes il semblait naturel à In the Red et à Thee Oh Sees de les réunir sur un même format tant les compositions donnent une homogénéité inné à ce disque. Enregistré en condition live, ces 10 titres sont exactement à l'image de ce qu'est le groupe : sauvage, fun et jouissif...

Premier album du Ty Segall Band ! C'est à dire Ty Segall (forcément...), Mikal Cronin, Charlie Moonheart et Emily Rose Epstein. Car bien que Segall ait sorti d'incroyables albums en solo, celui-ci est le premier enregistré avec le groupe qui le suit en tournée. Ce mini-album enregistré au studio Hangar avec Chris Woodhouse, amplis à fond, pieds à fond sur les pédales distille une pop psychée électrifiée et rugissante tel qu'il l'exprime en live.

Visite guidée dans l'esprit de Ty Segall avec cette collection de onze chansons réinterprétées. Ces morceaux ne sont pas juste des reprises. Les reprises se cantonnent aux mariages et aux groupes de lycées jouant de la guitare dans le garage de leurs parents. Les chansons de cet album sont le résultat d'un artiste aimant tellement un morceau qu'il a besoin de se l'approprier puis de le laisser mijoter et se transformer, jusqu'à ce que le morceau ressemble en tout point à une chanson originale. A mi-chemin entre réinvention et hommage, Fudge sandwich laisse Segall habiter pleinement l'univers d'une chanson, la filtrant à travers la muse qui l'a conduit à enregistrer le magistral Freedom's goblin sorti un peu plus tôt en 2018. Encombrés, possédés et passionnés, les morceaux sont à peine reconnaissables mais néanmoins irrésistibles.