Au soir de sa vie, Einstein sombre dans le doute et dialogue avec ses propres voix intérieures qui dressent le bilan contradictoire d'une vie bien remplie.

"Je la revois, prenant les bols avec précaution, les déposant directement sur le poêle, comme pour en réchauffer la céramique, avant d'y verser délicatement une louche du riche bouillon. Puis, ses deux mains enveloppant le bol, elle nous présentait notre ration de potage comme s'il s'agissait d'un trésor. Le moindre de ses gestes débordait de tendresse. Son regard, ses yeux bleu ciel d'hiver, la vibration de sa voix exprimaient la bienveillance, la bonté, le plaisir d'offrir et de partager non seulement sa soupe, mais aussi son foyer, sa joie de vivre..." (Quatrième de couverture)

Sinbad et Rat d'eau n'ont comme bagage que leur soif de vivre et la puissance de leurs rêves. Sur le bateau qui les conduit vers un ailleurs, ces deux hommes s'opposent d'abord puis s'unissent pour arriver à leur fin.

Bertrand travaille dans un climat de pression et de harcèlement chez Cométra. Il souhaiterait réveiller les consciences, mais son ami Armand ne le suit pas. Ce dernier a perdu ses illusions vis-à-vis des combats menés par la gauche, et voit son couple menacé. Sa femme va aussi tenter de le faire sortir de son immobilisme.

Un exilé, le 214, avoue à la commission comment sa petite soeur et lui, sont arrivés là en espérant rejoindre un autre monde meilleur. Ils ont affronté les cavaliers sanguinaires, l'ogre capitaliste, le passeur malhonnête, mais ils craignent la maladie qui semble frapper certains exilés pour les réduire à l'état d'ombre. Cette fable met en scène la réalité des exilés dans un monde onirique.

L'histoire d'un homme, qui devient militant d'extrême droite.

Monologues de quatre dramaturges belges francophones écrits en 2006 à la demande du Théâtre de L'L de Bruxelles.

Interrogations sur la façon d'aborder l'image de Dieu avec un enfant, face à une actualité difficile.

A l'heure ou "le temps, c'est de l'argent", où le capitalisme est roi, où nous baignons dans le bruit et la productivité... des pouvoirs publics étonnamment inspirés imaginent de créer un espace de quiétude et de silence. Les habitants de la ville pourront y venir pour rêver, s'évader, s'ennuyer... C'est dans ce lieu singulier que se rencontrent Albert, Fernand et Lucien, trois hommes aux vies, aux convictions et aux loisirs totalement différents. Jusqu'où peut-on vivre seul ? Selon quelles affinités peut-on créer une communauté ? L'autre n'est-il pas tout à la fois celui que nous désirons ardemment comme ami et celui que pourrait bien rapidement devenir notre ennemi ? "Les fines bouches" se déguste comme un manuel de savoir-vivre... ou un traité d'anti-racisme. (Quatrième de couv.)

Cette monographie retrace 42 ans de théâtre et de danse en communauté française de Belgique.

Dans cette pièce, Théophile Gautier, après avoir rédigé le début de son roman, décide d'abandonner ses personnages. Le pauvre Sigognac vit donc dans son château délabré en compagnie de son domestique Pierre. Celui-ci décide de s'adresser directement à l'auteur afin de le convaincre de reprendre l'écriture de son roman. L'auteur accepte avec une certaine appréhension...

Sacha tente de faire oublier aux ours dont il a la charge, que l'hiver tarde à arriver. Survient Marcus, un enfant qui trouve refuge chez Sacha. Prix Annick Lansman 2010.

Histoire d'une génération, de ses rêves, de ses amours, de ses erreurs, où les hasards ont toujours le dernier mot.

F. Mailliot est directeur de district dans une société internationale d'automobiles. Marié et père, il mène une vie tranquille jusqu'à ce qu'on le confonde, à la suite d'une erreur administrative, avec Ali Ben Hami, ressortissant marocain né à Tanger et en situation irrégulière sur le territoire français depuis plus de vingt ans.