Après un album en duo avec Emmylou Harris, il enfonce le clou avec ce disque solo démontrant, à l'instar de songwriters tels que Dylan ou Neil Young, qu'on peut continuer à faire de la grande musique passé 60 ans ! Rodney Crowell a repoussé les limites de la country, du folk et de la musique roots américaine, bien avant que le terme "americana" n'existe. Johnny Cash, Van Morrison et Etta James sont parmi les artistes à avoir repris les chansons de ce grand Monsieur du rock.

Ce quatrième album est produit par Dave Cobb (Chris Stapleton, Sturgill Simpson, Rival Sons) et mixé par l'anglais Eddie Spear. (Electre)

Ce combo au genre difficilement classable est issu de Nashville (Tennessee). Un lieu idéal pour se forger un son hybride qui va du blues au space rock, en passant par le rock psyché ou le hard rock avec quelques éléments de stoner et de rock celtique. Tout aussi mystérieux que le titre puisse paraître, cet album emprunte la voie tracée dans les deux précédents opus du groupe avec quelque chose d'intangible en sus. Cette plongée semble à première vue moins périlleuse que les précédentes, plus structurée et riche d'instruments acoustiques. Les All Them Witches se permettent d'approfondir les parties calmes sans renier leurs tempétueuses sections de gros sons symbolisées par une batterie et une basse omniprésentes lorsque cela est nécessaire, le tout étant escorté par une guitare délivrant autant de réverbération que de fuzz ou de distorsion. (Electre)

La musique de Kacy et Clayton est inextricablement liée à l'endroit où ils ont grandi. Les collines, les granges et l'isolement de la région se retrouvent dans ces chansons, avec la reconnaissance douce et amère que cette musique les a emmenés loin de chez eux. Carrying on suit Strange country et The siren's song, tous deux acclamés mondialement. Pour cet opus, Clayton cite comme influences : le Delta sweete de Bobbie Gentry, My griffin is gone de Hoyt Axton, la musique de violon cajun et la guitare en acier de Ralph Mooney qui a joué sur plusieurs des disques qui ont défini la musique country de Bakersfield dans les années 1950. L'album est produit une fois de plus par Jeff Tweedy de Wilco et Uncle Tupelo, dans son studio Loft à Chicago. (Electre)

Ce 8e album du troubadour roots Américain montre un artiste inébranlable et sans équivoque dans sa vérité. En le composant, Earle s'est concentré sur une Amérique différente, celle des exclus et des opprimés, des oppressés et des oppresseurs, des optimistes et des désespérés. (Electre) (Electre)

Cet opus revisite de grands classiques de la musique country. Pour cela, Buddy s'est entouré de trois guitaristes renommés : Bill Frisell, Marc Ribot et Greg Leisz (qui forme donc les Majestic Silver Strings) qui emportent chaque morceau dans un nouveau cosmos gorgé de reverb. Avec les participations vocales d'Emmylou Harris, Patty Griffin, Shawn Colvin, Lee Ann Womack, Chocolate Genius et Julie Miller. Le dvd contient un mini documentaire avec des interviews de Buddy Miller et des reportages intimes en studio sur l'enregistrement de l'album. Inclus aussi un live unique du groupe au Belcourt Theatre de Nashville datant de janvier 2010.