Max et Glenn sont avant tout des amoureux de la musique : que ce soit en jouer, en faire, en parler, la dénicher, la musique coule dans leurs veines. Pas soucieux d'appartenir à un mouvement quelconque, on pourrait décrire leur style comme old school. Mettez les derrière des platines, ils balanceront un set mixant jazz, funk et hip hop en passant par la soul et le disco (le coeur et la fondation de leur son) et feront probablement danser toute la salle au rythme d'un sombre jazz funk polonais. Enfermez les dans un studio tous les deux et laissez-vous emporter par le swing quand l'enceinte crache une de leur prod. Le duo se délecte lorsqu'il explore les mid tempos, et le groove suave qui sort de leur MPC et se niche parfaitement au milieu des pépites vinyles qui habitent leur dj set. (Electre)

Le musicien et producteur autrichien dévoile sa vision musicale singulière avec un deuxièmelong format audacieux et vibrant. Avec ses superpositions d'accords éblouissants, ses lignes de basses solides et ses phases de synthé hypnotique, l'album se situe quelque part entre le rêve lucide et le voyage vers un monde synesthétique et merveilleux. (Electre)

Née en Zambie, élevée au Botswana et aujourd'hui installée en Australie, la rappeuse, chanteuse et poétesse a sorti en 2017 sa fameuse mixtape Birds and the BEE9, saluée par la critique. Son premier album met en vedette des productions de Silentjay (de Rhythm Section) et Kwes Darko (de Slowthai) ainsi que des collaborations avec Ecca Vandal, Blue Lab Beats, Jazz-collectif Steam Down et bien d'autres. Le disque est accompagné d'un documentaire intitulé Homecoming qui explore les différentes thématiques abordés dans les titres, et qui a été tourné en Australie, en Zambie et au Botswana. (Electre)

Trois ans après la sortie de Black sands qui lui permit de s'imposer comme un pilier de la scène electro mondiale, le producteur, compositeur et dj anglais Simon Green alias Bonobo sort ici son sixième opus sur le label qui l'a vu naître, Ninja Tune. Si The north borders se place dans la continuité de son prédécesseur, avec son lot de pépites low-tempo hypnothiques et follement addictives, Green s'enfonce encore davantage dans l'expérimentation sonore et visuelle - à l'image du clip psychédélique de Cirrus - pour nous livrer son album le plus fascinant à ce jour. (Electre)

La musique de Romare s'est toujours située à mi-chemin entre le monde du dancefloor et un environnement plus détendu, downtempo. Cet album n'y fait pas exception avec des moments euphoriques et éclairants comme sur Sunshine. "Pour moi, le point fort de la musique, c'est quand la joie et la tristesse se rencontrent", commente Romare, "le point où ces sentiments se rencontrent est ce que j'essaie de créer". La sortie de Home intervient après une longue période de voyages pour lui. Il a passé son enfance à voyager constamment avec sa famille, avant de finalement s'installer au Royaume-Uni. Ce style de vie nomade se poursuit désormais avec sa carrière en plein essor qui l'emmène en tournée à travers le monde.

Le duo Odesza et le producteur d'avant-garde de Sydney, Golden Features, ont annoncé leur nouveau projet, Bronson, résultat de leur capacité illimitée à explorer de nouveaux paysages sonores, libres de toute attente liée à leurs projets respectifs : un son rêveur en apesanteur, une intensité captivante, avec des lignes de basse déformées et des tonalités plus pointues. En 10 titres, le disque nous fait voyager entre la lumière et l'obscurité. C'est un bel équilibre entre des morceaux instrumentaux intenses et émotifs, et des chansons mélodiques cathartiques avec des featurings tels que Gallant et Totally Enormous Extinct Dinosaurs.

Devenu l'un des fers de lance de l'écurie Ninja Tune, la combinaison de ses superbes lives et de son génie en studio fait de lui un artiste unique ; cet album en est la preuve. Composé et arrangé comme à son habitude par Simon Green lui-même, c'est un bijou de maîtrise technique et d'inspiration musicale.

Après avoir travaillé sur la bande originale du jeu vidéo Splinter Cell, Amon Tobin a décidé d'explorer une nouvelle façon de mêler les sons. Ayant entendu parler de ces bruiteurs, appelés 'Foleys Artists', qui dans des 'Foleys rooms', enregistraient des sons pour les films, il a repris cette idée et est parti à la recherche des sons les plus inattendus : rugissements de tigres, bruit de gouttelettes d'eau. qu'il mêla aux sons de musiciens tels que les Kronos Quartet, Stefan Schneider ou Sarah Page.

Weval (Harm Coolen & Merijn Scholte Albers) est un duo basé à Amsterdam qui s'est établi une solide réputation à travers le monde pour sa musique électronique sophistiquée. Pitchfork a rapidement fait l'éloge du talent du duo, soulignant la "nature entièrement de leur écriture, leur rythme sublime et leur atmosphère monolithique de bon goût remarquable". 8.0 pour le premier album éponyme de Weval en 2016. Les récents EPs, "Time Goes" et "Changed for the Better" sortis sur Technicolour, le label de Ninja Tune, sont une autre preuve supplémentaire de la volonté de deux musiciens de repousser leurs propres frontières à la recherche de nouveaux sommets.

Bonobo, de son vrai nom Simon Green, présente Fragments qui fait suite à Migrations (2017). Un projet riche développant une palette sonore extraordinaire, rempli autant d'émotions que de compétences techniques uniques qui érigent une nouvelle fois Bonobo en tant que véritable pionnier de la musique électronique ; Fragments est une combinaison parfaite mêlant morceaux produits pour le dancefloor et titres taillés pour l'écoute à la maison. Bonobo s'est entouré d'artistes passionnants dont Joji, Jamila Woods, Jordan Rakei, Kadhja Bonet ainsi que O'Flynn et Miguel Atwood- Ferguson (Thundercat, Flying Lotus, Mary J. Blige, Dr. Dre).

Bonobo, de son vrai nom Simon Green, présente Fragments qui fait suite à Migrations (2017). Un projet riche développant une palette sonore extraordinaire, rempli autant d'émotions que de compétences techniques uniques qui érigent une nouvelle fois Bonobo en tant que véritable pionnier de la musique électronique ; Fragments est une combinaison parfaite mêlant morceaux produits pour le dancefloor et titres taillés pour l'écoute à la maison. Bonobo s'est entouré d'artistes passionnants dont Joji, Jamila Woods, Jordan Rakei, Kadhja Bonet ainsi que O'Flynn et Miguel Atwood- Ferguson (Thundercat, Flying Lotus, Mary J. Blige, Dr. Dre).

Après avoir rassemblé une base de fans fidèles grâce à des concerts explosifs, leur premier album, For The First Time, a fait l'effet d'une bombe dans l'univers du rock indépendant britannique, grimpant à la 4e position des charts du pays à sa sortie et étant nommé dans la prestigieuse catégorie de l'album de l'année au Mercury Prize. Un an jour pour jour après la sortie de leur premier projet, les sept membres du groupe frappent fort et amorcent un changement de sonorités avec ce nouveau projet. S'éloignant des inflexions post-punk et expérimentales abrasives de leur premier long-format, ils y diversifient leur univers musical en intégrant des éléments indie-folk et rock alternatif, pour un résultat puissant et ambitieux.

Depuis le succès de leur album In Return en 2014, le duo de Seattle n'a eu de cesse de developper un univers musical singulier navigant entre indie pop et deep house. Ils reviennent avec The Last Goodbye, l'album le plus ambitieux du duo à ce jour. Symphonique, vaste et émouvant, il constitue une expérience sonore d'envergure qui aborde les thèmes de la connexion et de la réminiscence. Les producteurs s'entourent d'invités presitigieux dont The Knocks, Bettye LaVette, Maro, Lapsley, Olafur Arnalds, Julianna Barwick, Izzy Bizu et Charlie Houston !

Le dancefloor est unifié quand I. JORDAN est aux platines. Sur son premier album très attendu, I AM JORDAN le.la producteur.trice électronique britannique célèbre joyeusement lextase collective comme mode de découverte de soi. Cet album parle de la joie, explique Jordan. Il sagit de ma joie en tant que personne transgenre, et de la joie transgenre en général, de travailler avec des personnes transgenres, de faire toute cette musique amusante ensemble. Avec cet objectif, lalbum capture le bonheur et le dynamisme dun set endiablé de I. JORDAN. Sappuyant sur sa décennie dexpérience en tant que DJ et producteur.trice, iel rend des hommages étourdissants au donk et au hardstyle, à la trance et la house euphoriques, et laisse beaucoup despace à lexploration.

Après une tournée mondiale record, Ben retourne à son studio pour se reconnecter avec sa créativité spontanée. Bloom marque un retour à ses racines improvisées et une réaffirmation de ses propres désirs artistiques. L'album inclut des collaborations avec Lykke Li, Oh Wonder et Enfant Sauvage, explorant divers styles et rythmes, illustrant la croissance et l'évolution de Ben.