Placer en perspective la production céramique des principaux centres européens depuis la fin du XVIIIe siècle et jusqu'à l'époque contemporaine, c'est le but que se propose cette exposition. Réalisée à la demande du député-maire de Limoges, elle a été organisée par le musée national de Porcelaine Adrien Dubouché et la Réunion des musées nationaux. Quatre cent cinquante objets permettent de constater que cet art, qui fabrique aussi bien des objets utilitaires que des objets décoratifs très sophistiqués, a suivi dans toute l'Europe les principaux courants artistiques. Les nombreuses concordances que l'on découvre au fil de la visite prouvent, s'il en était besoin, l'existence depuis plusieurs siècles de tendances esthétiques communes à toute l'Europe.

Présentation complète des arts et civilisations de l'islam dans toute leur richesse et toute leur diversité, de manière chronologique, géographique, et artistique. L'ouvrage est structuré en entrées thématiques classées par ordre alphabétique : lieu géographique, monument, technique artistique, notion artistique.

Rétrospective de l'oeuvre du peintre français, depuis ses débuts fauves jusqu'aux grands ateliers tardifs, en passant par sa contribution décisive au cubisme, son néoclassicisme, ses décors scéniques, ses sujets mythologiques, ses natures mortes et ses oiseaux. Les liens de G. Braque avec d'autres artistes d'avant-garde (P. Picasso, H. Laurens) et des poètes (R. Char, F. Ponge) sont examinés.

Philologue, éditeur, traducteur, libraire, imprimeur, peut-être graveur et relieur, Geoffroy Tory (1480-1533) est une figure inclassable de la première Renaissance qui croise les disciplines (linguistique, stylistique, gravure, architecture, philosophie, histoire, etc.) et multiplie les innovations. Il est à la fois un théoricien original et un praticien qui propose des réalisations soignées et atypiques, notamment quant au lien entre le texte et l'image. Auteur du Champ Fleury (1529), un des plus beaux livres imprimés de la Renaissance, imprimeur du roi , acteur important de la grammatisation du français, introducteur de signes comme la cédille et les guillemets modernes, concepteur de motifs iconographiques, introducteur des bordures à arabesques, G Tory est un opérateur de pluridisciplinarité . Par son ampleur, sa variété, voire ses contradictions, l'oeuvre de Tory est à la fois un document de première importance sur les enjeux de la mise en livre et de la grammatisation dans la France du premier tiers du XVIe siècle, mais aussi une oeuvre en soi, singulière et atypique, aux limites encore mal circonscrites et restent à interpréter. Son oeuvre a tellement fasciné qu'on lui a attribué des manuscrits, miniatures, gravures, traductions et un élève, le typographe Claude Garamond.

Exposition sur la fascination des milieux artistiques et littéraires européens pour la vie nomade et les figures mythiques de Bohémiens depuis la Renaissance, sur la bohème artistique et littéraire parisienne du début du XIXe siècle à 1937 et l'exposition d'art dégénéré de Munich.

A l'intérieur du cadre chronologique du dernier siècle de la République à la fin de l'Antiquité, sont traités les aspects les plus significatifs de l'art romain. Des réalisations les plus monumentales et officielles, manifestations publiques d'une création artistique largement soumise aux contraintes politiques, aux objets et décors de la vie privée, un choix de sites et d'oeuvres est analysé.

Intimement liée à l'histoire mondiale, le jeu vidéo se nourrit de la vie politique, des phénomènes sociétaux et de la culture. Il puise dans les imaginaires locaux, historiques et fantastiques, et repose à la fois sur l'image, le son et l'interactivité. Plus de 70 jeux, majoritairement français, sont classés par ordre alphabétique et présentés. Ils s'accompagnent de nombreux objets et affiches.

Exposition rétrospective de l'oeuvre peint et gravé du peintre américain E. Hopper. Compare son oeuvre à celles de ses contemporains européens et américains, et souligne sa rupture de l'académisme dominant avec la fondation d'un réalisme moderne ancré dans une tradition américaine et émancipé de linfluence française.

James Ensor (1860-1949) est sans doute la figure la plus originale de la peinture belge de la fin du XIXe siècle. Grand maître de la lumière qu'il approche dans un esprit opposé exact de celui des impressionnistes, ses contemporains, il développe un univers particulier dans lequel masques et squelettes contribuent à la réinvention d'un monde sans doute jugé trop fade, trop étriqué, trop mesquin. Il invente également un art inclassable dans lequel se succèdent de grandes pages lyriques et mystiques et de petits panneaux caustiques, macabres, absurdes, méchants qui flirtent avec les moyens de la caricature. Conscient tout à la fois de sa singularité, de son talent et de l'incompréhension qu'il provoque, James Ensor crée une oeuvre dont il est le centre et dont sa maison-magasin comme sa ville natale d'Ostende constituent les limites aussi infinies que bornées.

Cet ouvrage propose une sélection de représentations du Midi, région particulièrement appréciée des peintres, de Cézanne à Matisse en passant par Renoir, Van Gogh, Signac, Denis, Bonnard, Braque et Picasso.

Ce document explore le thème de la beauté animale et montre comment, au fil de l'histoire, les artistes ont considéré les animaux représentés.

Recueil de recettes africaines qui nous conduit jusqu'aux cuisines odorantes de l'Afrique de l'Ouest. Chaque recette est illustrée par une aquarelle et complétée par des ustensiles à découvrir dans les collections des musées Barbier-Mullet, du quai Branly...

Portrait du roi Philippe II Auguste et présentation de son rôle dans l'histoire générale de la France. Roi guerrier, bâtisseur et administrateur d'exception à la personnalité complexe, parfois austère, il posa les bases d'un Etat moderne et s'imposa comme modèle à ses successeurs.

Une exposition qui cherche à replacer l'art du portrait de "cour" chez Warhol au coeur de sa réflexion sur l'image à l'ère de la consommation de masse, et bien loin du pop art réducteur. Warhol remit le travail du portrait à la mode à partir de 1972 : ce seront 600 portraits produits en l'espace de 14 ans, avec un processus célèbre mis en place dans son atelier sous le nom de Factory.

Les portraits cultes du travail que Warhol remit à la mode à partir de 1972 : ce seront 600 portraits produits en l'espace de 14 ans, avec un processus célèbre mis en place dans son atelier sous le nom de "Factory".

Cette oeuvre est un jalon essentiel pour comprendre l'évolution de l'art de la tapisserie dans les Pays-Bas du Sud autour de 1500.

Présentation d'oeuvres de Picasso qui illustrent sa relecture et son dialogue avec les grands maîtres de l'histoire de l'art : Velazquez, Degas, Delacroix, Manet, etc., tout au long de sa carrière. Publié à l'occasion d'une exposition aux Galeries nationales du Grand Palais.

Décriée et incomprise, l'oeuvre de Cézanne (1839-1906) a imposé une nouvelle vision du monde dont se nourrit l'art du XXe siècle. Exposant en 1863 au Salon des refusés, il se lie avec les impressionnistes, puis son travail prend un tour plus intime jusqu'à la présentation de sa première exposition personnelle en 1885. Exposition au musée du Luxembourg du 12 octobre 2011 au 26 février 2012.

Influencée par la peinture du siècle d'or, les courants régionalistes, la modernité et l'avant-garde française, la peinture espagnole autour de l'an 1900 est présentée autour des thématiques de l'ombre et de la lumière.

Ces portraits de Gertrude Stein et de sa compagne Alice Tocklas mettent en évidence leur complicité et leur relation de confiance avec les photographes. Les clichés sont accompagnés de citations de l'écrivain.

Les Stein : Gertrude, écrivain d'avant-garde et ses frères Léo et Michael, sont les premiers acheteurs de Matisse et Picasso. L'exposition permet de mettre en lumière les liens de cette famille avec les mouvements artistiques avant-gardistes.

Le parcours de la première épouse de Napoléon Bonaparte, impératrice des Français de 1804 à son divorce en 1809, à travers ses effets personnels et des oeuvres issues de ses collections d'art. Publié à l'occasion d'une exposition au Musée du Luxembourg à Paris.

Décriée et incomprise, l'oeuvre de Cézanne a imposé une nouvelle vision du monde dont se nourrit l'art du XXe siècle.

Giovanni Battista di Jacopo (1494-1540), surnommé Rosso Fiorentino, le Florentin roux, répondit à l'appel de François Ier pour la décoration du château de Fontainebleau. Il y créa plusieurs grands décors dont le plus important, et le seul qui nous soit parvenu, est la galerie François Ier. Son influence marqua les domaines de la peinture, de la sculpture, de l'architecture et des arts décoratifs.

Monographie consacrée à ce peintre qui couvre l'ensemble du XXe siècle. Il s'impose dès ses débuts comme un acteur de l'Ecole de Paris et s'engage à partir de 1932 dans les voies de l'art non figuratif en entrant dans le groupe Abstraction-Création avant de s'en affranchir. Son oeuvre met en scène un univers de formes mouvantes et de personnages iconiques.

De 1860 à nos jours, ce catalogue retrace les trajectoires collectives et individuelles de migrants en provenance de l'Asie de l'Est et du Sud-Est, au rythme des grands bouleversements du monde contemporain. A la croisée de l'histoire, des arts, de la géographie, de la sociologie et de l'anthropologie, il porte une attention particulière aux questions des stéréotypes et du croisement des regards. ©Electre 2024