Trois personnages, en proie à une solitude affective, vont se croiser à Paris, se rencontrer et sortir de leur détresse : Marie, orpheline et jeune fille au pair d'une riche famille de San Francisco, Caroline, jeune femme de 30 ans confrontée à une féroce rupture sentimentale, et Marcus, animateur de télévision égocentrique.

Au coeur du campus de Perpignan, le commissaire catalan Jepe Llense enquête au sein d'un monde pervers et libertin où suspects, victimes et témoins portent les noms des personnages du célèbre roman de Choderlos de Laclos, Les liaisons dangereuses. L'affaire qu'il doit résoudre le ramène à son passé, hanté par le crime non élucidé de sa soeur jumelle. Electre 2015

En 1187, le jour de son mariage, devant la noce scandalisée, la jeune Esclarmonde refuse de dire oui : elle veut s'offrir à Dieu, contre la décision de son père, le châtelain régnant sur le domaine des Murmures. La jeune femme est emmurée dans une cellule, avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entré avec elle dans sa tombe... Loin de gagner la solitude à laquelle elle aspirait, Esclarmonde se retrouve au carrefour des vivants et des morts. Depuis son réduit, elle soufflera sa volonté sur le fief de son père et ce souffle l'entraînera jusqu'en Terre sainte. Carole Martinez donne ici libre cours à la puissance poétique de son imagination et nous fait vivre une expérience à la fois mystique et charnelle, à la lisière du songe. La voix fraîche d'Isabelle Carré nous emporte dans l'univers rêveur et passionné de Carole Martinez.

Petit Ours ne trouve pas le sommeil. C'est la nuit de Noël et il craint que le Père Noël ne passe pas dans la cheminée. Il réveille Papa Ours et tous deux vont monter la garde au rez-de-chaussée pour pouvoir intervenir en cas d'urgence.

En compagnie de Léon, l'enfant apprend tout ce qu'il faut faire avant de se mettre à table et pendant le repas.

Victime d'un mauvais sort, Capucine a rétréci quand les autres petites filles grandissaient. En compagnie de ses amis les animaux, elle se rend chez la sorcière responsable dans l'espoir d'obtenir une taille normale.

Publiée à l'occasion d'une exposition au Musée de la Poste et à partir d'oeuvres provenant en majorité de ses collections, une présentation du rôle de la Poste dans l'art des XXe et XXIe siècles. Commanditaire d'oeuvres pour la série artistique de timbres-postes depuis 1974, elle est aussi une source d'inspiration pour des artistes tels que J. Miro, P. Alechinsky, C. Viallat, M. Duchamp, etc.

La belle lisse poire du prince de MotorduDe Pef, raconté par PefMotordu papaDe Pef, raconté par Olivier Chauvel et Julie KremerLe petit MotorduDe Pef, raconté par Olivier Chauvel et Julie KremerAu loup tordu!De Pef, raconté par PefRendez-moi mes poux!De Pef, raconté par Olivier Chauvel, Julie Kremer et François JerosmeDès 4ans

En 1986, Chékéba, onze ans, traverse seule avec un passeur les montagnes qui séparent l'Afghanistan du Pakistan. L'occupation soviétique et la guérilla islamiste déstabilisent le pays. La famille Hachemi doit s'exiler et se retrouve en France. Dix ans plus tard, avec ses maigres moyens, sa volonté de fer et son sens de l'humour, Chékéba fonde Afghanistan Libre, association visant l'éducation et l'autonomisation des femmes et des filles, notamment à travers la construction de plus de trois cents écoles. Ses initiatives et sa verve la propulsent au cœur de la résistance aux côtés du commandant Massoud. Une ascension parsemée de succès et d'échecs, de désillusions et d'espoirs, qui la conduit à devenir la première diplomate afghane à la veille de l'assassinat de Massoud et des attentats du World Trade Center. Elle démissionnera pour dénoncer la corruption des milieux politiques et mieux poursuivre la lutte. Chékéba Hachemi a souhaité que sa fille, Mariame Haami, lise le début de L'Insolente de Kaboul car elle a aujourd'hui l'âge qu'elle avait elle-même quand elle a quitté son pays. Sa voix juvénile et fraîche nous restitue le courage et la force de vie de la toute jeune Chékéba.

Poucette la petite souris, qui habite avec sa nombreuse famille sous un escalier, a peur de tout.

La petite Emilie n'était pas une enfant comme les autres. Chaque fois qu'elle fermait puis ouvrait la main, un jouet apparaissait dans le creux de sa paume. Il en tombait une balle, une voiturette, un poisson qui semblaient avoir été sculptés à même le chêne doré, l'érable blanc, le sapin roux...

"Juju le bébé terrible" avait disparu, emporté dans le naufrage des éditions La Farandole. Les éditions Mijade viennent de lui rendre une nouvelle vie. On est d'autant plus heureux que la traduction réalisée par Nelle Hainaut-Baertsoen est fidèle au texte original, volontairement elliptique pour que le lecteur découvre par lui-même les cocasseries à l'image. Si, conformément au texte suédois, le bébé a perdu son prénom, il fait toujours autant de farces amusantes et de bêtises plus rigolotes les unes que les autres. Et sa maman si gentille est toujours aussi craquante.M. DEFOURNY