Yvan Cassar réunit un casting d'artistes français autour du projet Les plus belles comptines d'Okoo. 20 comptines traditionnelles (Pirouette cacahuète, Il était un petit navire, Petit escargot,...), tubes incontournables de la culture pour enfants, interprétées par Gaëtan Roussel, Nolween Leroy, Kad Merad, Syvain Duthu de Boulevard des airs, Aldebert, François Morel, Christophe Willem, Tété, Ayo, Louis Chedid, Helena Nogera, Elodie Frégé, Olivia Ruiz, Natalie Dessay, Neïma Naouri, Sofi a Essaidi, Sanseverino et Claire Keim. Sur des arrangements et orchestrations créés par Yvan Cassar, l'emblématique arrangeur et directeur musical de nombreux artistes (Johnny Halllyday, Mylène Farmer, Céline Dion, Jean-Jacques Goldman,... ). Chaque comptine est accompagnée d'un clip en animation, Okoo étant la nouvelle marque destinée aux enfants de France Télévisions (qui remplace les Zouzous et Ludo).

Le son et l'intégrité singuliers du cinquième album studio des anglais définissent l'essence même de ce groupe. Ce son, qui est leur marque de fabrique, a été distillé et remodelé pour s'incarner dans une déclaration d'intention incroyable, excitante et unique. 48:13 est le fruit de leur cheminement, de l'évolution constante de leur musique et des expérimentations de leurs quatre précédents opus ; une belle représentation de leur carrière qui arrive à point pour célébrer leur dixième anniversaire. (Electre)

Danse encore : c'est un refus de l'immobile et de l'essoufflement. Le titre du neuvième album de Clarika traduit un geste d'obstination, un désir, le voeu de rester en mouvement. Danser encore, même si le sol tremble. Sans frein, danser au-dessus de l'anxiété générale et des petits tracas. Danser avec les figures familières, et les nouvelles. Faire valser nos intimes et en reconnaître la poésie, même simple, même inaperçue. Danser encore, c'est aussi, pour la chanteuse, ne pas se lover dans l'assise confortable qu'offrent trente ans de carrière. C'est poursuivre, oui, mais marquer la rupture : pour cet album et pour la première fois, Clarika a écrit et composé. C'est nouveau, et n'avait jamais été pour elle l'enjeu d'une nécessité. Jusqu'ici, elle avait préféré s'entourer de compositeurs de confiance (Jean- Jacques Nyssen, Fred Pallem...), dont elle avait tiré de fières collaborations. C'est venu presque sans crier gare : d'un essai l'envie, puis la frénésie, l'excitation, la joie d'apprendre et de créer avec de nouvelles armes. C'était soudain ouvrir des brèches dans l'univers connu. Cette ivresse, ce risque incertain, vacillant et furieusement libre. Clarika danse encore, suspendue au-dessus du vide. Les textes ont de cela, d'une persistance dans le chaos.

Daniel est un jeune homme ordinaire qui n'arrive pas à se satisfaire de sa vie. Il vit avec Safia, qu'il a rencontré au lycée, et travaille comme coursier. Mais la frustration que cause sa situation professionnelle le conduit petit à petit à anéantir les choses qu'il a feint de construire. Le temps d'une journée et d'une nuit, Daniel plonge peu à peu dans une spirale infernale, qui pourrait tout lui faire perdre...

Ning Caichen, un jeune collecteur d'impôts, perdu dans une Chine de légende et de magie, fait la rencontre de la jolie Quian, un fantôme chasseur d'âmes. Déjouant les pièges que démons, sorciers et chasseurs de fantômes placent sur leur route, les deux héros cherchent à franchir la Porte de la réincarnation pour vivre leur amour impossible. La version anime du film homonyme de Tsui Hark.