À l'aube d'une vague de japonisme sans précédent, alors que Miyo découvre Paris et que Momotoshi fait découvrir l'ukiyo-e aux Français, la rencontre de Miyo et Judith risque de provoquer des étincelles… La boucle est bouclée dans ce dernier tome qui conte la fin des aventures de Miyo à la Belle Époque et ce qui l'attend au-delà.

1878, Nagasaki et ailleurs.Momotoshi a ouvert une petite boutique à Paris pour y vendre des articles importés du Japon. Mais Judith, la demi-mondaine dont il est éperdument amoureux, s'évanouit suite à une hémorragie pulmonaire. Et un incident imprévu à Nagasaki vient mettre en péril son commerce…

1878, Nagasaki.Miyo, la jeune orpheline aux dons de voyance récemment embauchée dans une boutique de produits d'importation, continue d'en apprendre davantage sur les gens qui l'entourent : son oncle renfrogné, son étrange employeur Momotoshi et les liens qui l'unissent à Kei Oura, l'ancienne plus grande exportatrice de thé de Nagasaki. Mais elle n'est pas encore au bout de ses surprises. Momotoshi a en effet de grands projets tirant parti de la vague de japonisme qui déferle sur l'Europe…

En 1878, Miyo, une orpheline japonaise qui a le don de clairvoyance, arrive à Paris. ©Electre 2020

En 1878, le Japon s'ouvre au monde après de nombreuses années d'isolationnisme. A Nagasaki, Miyo, une orpheline qui possède le don de clairvoyance à travers les objets, trouve un emploi chez Ban, où elle vend des articles importés d'Europe. Sa fascination pour la France la mène bientôt jusqu'à Paris. Cette série évoque les premiers contacts des Japonais avec le monde occidental. ©Electre 2019

1878, Nagasaki.Après avoir importé des articles dernier cri d'Europe, Momotoshi veut maintenant se rendre à Paris pour y vendre des produits d'art et d'artisanat japonais. Au moment du départ, Miyo lui avoue enfin ses sentiments. Seulement, Momotoshi garde encore dans sa montre le portrait d'une belle femme aux yeux bleus…