Né de père romain et de mère gauloise, Celtill vit en Armorique dans un village gaulois gouverné par les Romains. Aidé par son esclave abyssin Septentrion et par d'énigmatiques visions, il parvient à éviter une guerre entre Gaulois et Romains. Dans cette série, Celtill raconte sa vie quotidienne, les us et coutumes celtes et romains, les métiers et les croyances de ces deux peuples. ©Electre 2024

Né de père romain et de mère gauloise, Celtill vit en Armorique dans un village gaulois gouverné par les Romains. Aidé par son esclave abyssin Septentrion et d'énigmatiques visions, il parvient à éviter une guerre entre Gaulois et Romains. Il raconte sa vie quotidienne, les us et coutumes celtes et romains, les métiers et les croyances de ces deux peuples. Avec des informations historiques.

Quand mon père m'a envoyé, moi, Celtill, sur les routes de Gaule, il croyait me confier une mission tranquille. Aller délivrer un message, même un peu étrange, ne présentait aucun danger. Et avec mon esclave Septentrion comme escorte, je ne risquais pas de m'ennuyer. Je ne me suis pas ennuyé, non... Car rien ne s'est passé comme prévu. D'aventures en mésaventures, on s'est retrouvés sur le chemin de Noviodunum. Et là m'attendait ce maudit sanglier, le plus sinistre des présages.

Celtill, de père romain et de mère gauloise, vit en Armorique dans un village gaulois gouverné par les Romains. Il raconte sa vie quotidienne, les us et coutumes celtes et romains, les métiers et les croyances de ces deux peuples.

Celtill découvre qu'il est druide, mais son oncle Julius vient de déclarer la guerre à ces êtres maléfiques et a engagé un chasseur spécialisé pour les traquer. Le danger rôde et qui pourra aider Celtill ?

Chez nous, il y a des Gaulois, des Romains et moi, Celtill, tiraillé entre les deux parce que ma mère est gauloise et mon père romain. Dans ce genre de situation, croyez-moi, on ne rigole pas tous les jours.Enfin... soyons honnête, il ya quand même de bons moments, surtout depuis l'arrivée de notre drôle d'esclave, un dénommé Septentrion. Mais le pire commence ce fameux matin où j'ai découvert la catastrophe dans les thermes et où, pour la première fois, j'ai été frappé par une vision. "Frappé", je n'exagère pas...