La première pièce revisite l'épisode biblique en faisant intervenir des prostituées, des soldats, des veuves et des artisans au cours du dernier repas de Jésus-Christ. La seconde pièce raconte comment un anatomiste chargé de la dissection du roi se retrouve piégé et accusé de son meurtre.

Présentation des écrits de W. James sur l'habitude et la mémoire traduits pour la première fois en français avec leur pagination originale. Le livre se termine par la réédition du dernier écrit de James sur la mémoire (1899).

La première pièce met en scène une femme qui attend son amant, en retard. Pour patienter, elle raconte leur couple jusqu'aux retrouvailles finales qui seront fatales à l'un des deux protagonistes. La seconde pièce a pour cadre un château assiégé dans lequel quatre femmes attendent l'envahisseur. La mort approche mais elles s'évertuent à respecter le protocole, dernier vestige de leur civilisation.

La première pièce, écrite en 1975, conte l'épopée tragi-comique d'un bâtard né dans la misère et qui pense réussir sa vie en proposant ses services de souteneur. Dans la deuxième pièce, datant de 1978, l'Angleterre décide de financer la construction de cimetières pour les milliers de soldats morts pendant la Première Guerre mondiale, deux ans après la fin du conflit. ©Electre 2015

Pour sauver sa ville assiégée par l'armée assyrienne, Judith se rend dans le camp ennemi, séduit le général Holopherne et lui tranche la tête pendant son sommeil, provoquant au petit matin la déroute de l'armée. La seconde pièce, dans laquelle les personnages de Barker s'affranchissent d'un créateur qui les étouffe, est librement inspirée de Tchekhov.

La première pièce est une réécriture du Hamlet de Shakespeare, la seconde d'un célèbre conte des frères Grimm. Elles explorent chacune la tragédie de la féminité incarnée par des personnages extrêmes qui vont au bout de leur passion.

Le premier texte évoque l'attitude du genre humain face à sa propre évolution, à partir de l'arrivée dans un monastère, en 1450, de l'imprimerie et de l'arme à feu. Le second met en scène une femme et sa domestique, dans un espace vide, après une révolution ou une guerre.