Déjà très fortifiée depuis la création de l'Arsenal de Rochefort en 1666, l'île d'Aix est placée par Napoléon au centre de ses plans contre l'Angleterre. C'est aussi à l'île d'Aix que Napoléon passe ses derniers jours sur le sol français avant son exil pour Sainte-Hélène. Cet ouvrage évoque l'empreinte laissée par l'Empereur qui constitue l'un des attraits majeurs de cet îlot charentais.

Cet ouvrage retrace la généalogie d'un idéal de la gloire dont Napoléon a hérité et qu'il tenta de réaffirmer lors de son exil à Sainte-Hélène. Ce besoin de reconnaissance de l'empereur déchu l'engagea dans une lutte à mort face à son geôlier.

Des dessins représentant les événements depuis le Serment du Jeu de paume (1789) au 18 Brumaire an VIII (1799). Une attention particulière est portée aux dessins préparatoires aux gravures, si riches en informations politiques, sociales et architecturales. L'ouvrage fut également l'occasion d'une réflexion sur la nature des rapports entre dessinateurs et graveurs.

Etude de la vie amoureuse de Napoléon. Avant, pendant et après Joséphine, il a connu d'autres femmes. Femmes d'un soir, d'un mois, coups de sang ou véritables attachements, intrigantes ou désintéressées, conquêtes généralement faciles, elles jalonnent sa vie.

G. Ducrest, une jeune aristocrate, fait la connaissance de l'impératrice déchue en 1810 à Genève, puis séjourne durant l'hiver 1810-1811 à sa cour. Ces quelques mois sont pour elle une révélation : pénétrant l'intimité de l'impératrice, elle se sent autorisée à rapporter ce qu'elle voit : elle écoute Joséphine, l'observe et note les détails de son existence de façon sincère et innocente.

Pour chacune de ces vingt-six personnalités liées à l'histoire de l'Empire et de Napoléon, ses origines, ses études, son caractère et son comportement, son blason, ainsi qu'une analyse graphologique (avec fac-similé d'autographes).

La mort de Louis XVI et de Marie-Antoinette, les massacres de Septembre et la guerre de Vendée, la guillotine et les lois de Prairial sont, dans notre mémoire collective, autant d'exemples de la Terreur. Aucun accord n'existe cependant, ni sur sa durée, ni sur son ampleur, ni sur ses auteurs. La mort de Robespierre, le 10 thermidor an II (28 juillet 1794), en serait le terme, avec l'exécution du principal responsable. Mais aurait-elle commencé en mars 1793, avec la naissance du tribunal révolutionnaire, en septembre 1792 avec les tueries, voire en juillet 1789, avec les premières têtes coupées' Dérive inéluctable annonçant les totalitarismes ou rigueur inévitable pendant une guerre civile, la période est au cur des débats sur la nature même de la Révolution française. Jean-Clément Martin inscrit la Terreur dans la longue histoire de la violence politique.