Réseaux sociaux, messageries chiffrées, cagnottes en ligne... En difficulté sur le terrain, Daech comme Al-Qaeda misent sur le Web pour recruter, financer et planifier leurs attaques. Sommaire. Quand le djihad infiltre Internet. Les cagnottes en ligne des terroristes. Telegram : la djihadothèque. Les ventes privées de Daech.

Les SOS de l'ONU et les larmes d'Erdogan sur "la pire catastrophe humanitaire du siècle" effacent le véritable enjeu de la bataille d'Idlib, ultime bastion djihadiste face à l'offensive d'Assad et de son allié russe.

Vingt ans déjà qu’un matin lumineux de fin d’été, dans le ciel bleu immaculé de New York, deux avions ont l’un après l’autre percuté les tours jumelles du World Trade Center, déclenchant la plus grande attaque terroriste jamais vue sur le sol américain et partout ailleurs. Aussitôt mille questions surgirent. Et si les noms des coupables – Al-Qaïda et Ben Laden – furent vite connus, d’autres interrogations hantèrent longtemps les esprits : pourquoi pareille agression ? Comment avait-elle été possible ?

Sept ans après l'attentat contre "Charlie Hebdo" revendiqué par Al-Qaida dans la péninsule Arabique, l'organisation terroriste a aujourd'hui pratiquement disparu. Les disputes internes et l'alliance avec la coalition menée par l'Arabie saoudite au nom de la lutte contre les houthis ont eu raison du groupe djihadiste.

Le 15 août 2021, les talibans ont pris la capitale afghane sans résistance. Après l’annonce du départ des dernières troupes américaines, ils ont reconquis le pays à une vitesse fulgurante. De retour au pouvoir dont ils avaient été chassés en 2001, vont-ils rétablir un régime de terreur s’appuyant sur la charia ? S’ils prétendent avoir changé, ces talibans 2.0 sont surtout devenus des maîtres en communication, estime cette journaliste qui les suit depuis vingt ans. Sommaire. Les nouveaux maîtres de Kaboul. "Ma vie tout entière a été anéantie". Biden est responsable de la débâcle.

Un après le retour au pouvoir des talibans, le pays est en plein effondrement économique. Alors que les Afghans s’efforcent de survivre tant bien que mal, les marchands d’oiseaux ne font plus recette, explique ce reporter allemand.