Le grand-père de Gaby a vendu son manoir, mais il a heureusement conservé un moulin tout proche. Elle ne reste pas insensible au charme de Luke, le fils du nouveau propriétaire du manoir, un Américain. Mais quand on est surnommée Gaby la Poisse, les histoires d'amour promettent d'être compliquées.

Conçue comme un objet provocant et paradoxal, la réflexion est à la portée de tous car l'auteur tente de répondre philosophiquement aux questions de l'importance de l'amour dans la vie, si l'amour est possible sans raison, s'il est disponible sur commande... Electre 2014

Partant de sa propre vie autant que de ses lectures, Michela Marzano évoque la recherche du Prince Charmant - un objectif inaccessible -, le désir d'enfant, la maternité, l'absence d'amour qui fonde parfois nos bancales existences, l'acceptation des limites de cet amour. Compréhensive pour chacun mais souvent impitoyable envers elle-même, elle aboutit à un constat personnel, où se reflète toute expérience humaine : « Cette fois, c'est différent. Car même si je perds tout, je ne me perdrai pas moi-même. » Ce récit, dont le titre est inspiré d'un vers d'Emily Dickinson, s'inscrit dans la lignée du magnifique Légère comme un papillon. Un alliage délicat entre autobiographie et réflexions philosophiques, au gré de formules joliment ciselées. Delphine Peras, L'Express.Une par une, elle revisite les interrogations que les femmes partagent depuis toujours. Isabelle Girard, Figaro madame.

Caillou rencontre Isabel, une petite fille qui séjourne près de chez lui. Caillou est chaviré par sa nouvelle amie. Son rire, ses pirouettes, mais surtout son lapin blanc... tout chez elle le fascine ! Isabel devient sa princesse à lui. Caillou découvre alors le sentiment amoureux. La collection Pas à pas est conçue pour accompagner les enfants au cours des différentes étapes de leur développement. Écrits avec la collaboration de psychologues pour enfants, les textes apportent de l'aide aux enfants en leur faisant comprendre ce qu'ils vivent. Electre 2015

Née en 1970 à Rome, Michela Marzano est une brillante essayiste à qui l'on doit, entre autres, Extension du domaine de la manipulation (Grasset, 2008), Le Contrat de défiance (Grasset, 2010), et un récit, Légère comme un papillon (Grasset, 2012).

Evoque l'inspiration amoureuse et libertine qui parcourt l'oeuvre du peintre, de ses thèmes bucoliques ou mythologiques au sujet de la fête galante, en passant par les allégories et les illustrations de textes littéraires. ©Electre 2015

Conférence sur l'apport des philosophes à la définition de l'amour et du fait d'aimer, à l'interrogation sur l'universalité ou la pluralité de l'amour, sur son irrationalité, etc. Electre 2014

L'auteur s'interroge pour savoir si la philosophie, amour de la sagesse, ne signifie pas un renoncement aux amours humaines, sources de déraison. La philosophie ne pourrait-elle pas donner du sens à ce qui n'en a pas ou est-ce l'amour qui définit la philosophie ? ©Electre 2018

Troisième volet d'une trilogie, après Le théorème du surmâle (2011) et Le pas gagné de l'amour (2016) dont le principe général ne se révèle qu'après coup. Un même fil conducteur relie entre elles les étapes du questionnement : le passage éventuel du désir à l'amour, ici examiné au prisme de l'érotisme. ©Electre 2018

« L'amour – nous y vivons, nous le respirons, nous le traversons. Sans cesse. Et pourtant nous n'y comprenons rien, ou presque, quand il surgit. Il naît et meurt en nous sans que nous le pressentions : nous ne l'apercevons que bien après son surgissement, et nous l'avons déjà tué depuis longtemps que nous le croyons toujours vivant. Il se déploie à travers nous, plus qu'en nous, comme sans nous. Sans cause, n'a-t-il donc aucune raison ? Nous concluons en effet qu'il n'obéit à aucune logique, pathos sans rigueur, délire sans borne, drogue de drame…Il reste pourtant une autre voie : l'amour se dispense de toutes les logiques du monde, parce qu'il recèle et déploie de lui-même une « …raison merveilleuse et imprévue… » (Rimbaud). L'amour suit une raison, mais la sienne, pas celle du monde. La sienne, absolument autre, paradoxale et invisible à ceux qui n'aiment pas. La penser et la dire, cela semble encore impossible. Du moins peut-on déjà en esquisser les prolégomènes : le mal, la liberté, l'éblouissement, la croisée des regards, la crise, l'absence. Et, dès ces préparations, l'amour impose déjà son autre nom – la charité. »J.-L. M.Livre légendaire publié en 1986, maintes fois réédité, Prolégomènes à la charité trouve ici sa forme définitive, dans une version préfacée et complétée de trois chapitres.