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Antonin Artaud, fin de l'ère chrétienne

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Bien sur qu'on n'en finira jamais avec le texte d'Artaud. Mais il semble que cet inépuisable touche aussi l'auteur et qu'on ne parviendra jamais ni à faire le tour d'une totalité inouïe ("Moi, Antonin Artaud, je suis mon fils, mon père, ma mère, et moi ;") ni à recoller les morceaux d'une personnalité disséminée ("Je veux souffrir toujours").
Numéros de page :
2 p. / p. 11-12