Derrière le putsch avorté de Wagner, des clans de prédateurs se disputent le pouvoir. Sommaire. La possibilité d'une implosion. La vérité sur les armes nucléaires russes. Loukachenko a pris le risque de se lier davantage au régime de Poutine. A Bakhmout, les fantômes de Wagner.

13 nominations aux Oscars, un triomphe au box-office : "Oppenheimer" a définitivement confirmé la position unique du cinéaste au sein de l'industrie. Alors qu'il s'apprête à recevoir un César d'honneur, on a parlé avec lui de style, de méthode et du "moment Nolan".

Au pouvoir depuis 2011, Kim Jong-un a célébré la fin de l'année 2022 et le début de 2023 avec des lancements de missiles, faisant trembler non seulement ses voisins du sud de la péninsule Coréenne, mais aussi le Japon et les Occidentaux. En digne héritier de ses grand-père (Kim Il-sung ; 1948-1994) et père (Kim Jong-il ; 1994-2011), le dictateur nord-coréen conduit une politique de menace permanente pour légitimer coûte que coûte son régime.

Alors que l'Iran est sur le point de posséder l'arme nucléaire, les ennuis de Netanyahou réduisent la marge de manoeuvre d'Israël.

Plusieurs œuvres récentes remettent sur le devant de la scène l’idée d’un conflit nucléaire, son déclenchement et ses conséquences.

Malgré leur reprise après l’élection de M. Joseph Biden aux États-Unis, les négociations entre les pays occidentaux et Téhéran au sujet du nucléaire iranien n’ont guère progressé. Persuadés que la République islamique cherche à se doter de la bombe, les pays de la région, Arabie saoudite en tête, développent eux aussi des programmes, dont rien ne dit qu’ils ne s’étendront pas au domaine militaire.

Depuis près de deux ans, les Etats-Unis tentent en vain de négocier une relance de l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien. La difficulté de rétablir le pacte s'est accrue cette année avec la répression brutale des manifestations en Iran, le renforcement des liens militaires avec la Russie et l'accélération du programme nucléaire de Téhéran. Face à ces nouvelles menaces, le gouvernement de Joe Biden a petit à petit abandonné sa volonté de renouer l'accord pour se consacrer à la défense de la stabilité internationale.

Après des mois de stagnation, un texte qui permettrait de lever une partie des sanctions pesant sur l’Iran serait de nouveau sur la table.