A Bruxelles, une exposition interroge la manière dont l'Occident présente l'art du continent. En mêlant oeuvres traditionnelles et contemporaines. A découvrir.

En dépit de quelques percées, les artistes africains n'ont pas encore la cote aux enchères.

Jusqu'au 20 septembre 2014, l'artiste anglonigérian Yinka Shonibare MBE expose huit de ses oeuvres dans le sud de la France, à Apt, sous l'égide de la Fondation Blachère. Un événement exceptionnel.

Ambitieuse mais mal ficelée, une exposition parisienne, regroupant 54 artistes issus d'autant de pays africains, tente d'alerter sur les problèmes d'accès à l'énergie sur le continent.

Alors que s'annonce la quatrième édition londonienne de la foire d'art contemporain africain 1:54, "Jeune Afrique", partenaire de l'événement, a rencontré son enthousiaste fondatrice.

Galeriste incontournable à Bruxelles comme sur la scène internationale, Didier Claes présente des oeuvres dans les plus grandes foires et a pour clients collectionneurs avisés et grands musées. Sa spécialité? Les arts premiers, qui concentrent, plus que jamais, toutes les attentions.

Il est l'époux d'Isabel Dos Santos (investisseuse milliardaire et fille du président de l'Angola). Entrepreneur et homme d'affaires de talent, collectionnaure d'art, mécène, il se jette, à 45 ans, dans la bataille pour la transition politique en RD Congo.

C'est un soldat haut comme trois pommes qui ouvre l'exposition du Musée du quai Branly. Avec son casque colonial, sa petite moustache et une tête aussi grosse que son corps, il tient davantage du personnage de bande dessinée que de la statuaire militaire.