Décryptage, en janvier 2012, du rebond constaté du marché mondial de l'art. Certaines maisons de ventes affichent des ventes record après avoir été mises à mal en 2009. Le marché de l'art profite du manque de confiance dans le système monétaire et de la mauvaise performance des actions, qui conduit les investisseurs à mettre de l'argent dans les oeuvres d'art, devenues une monnaie internationale. Les oeuvres contemporaines ont notamment le vent en poupe. Mais le marché fonctionne à deux vitesses, avec de grandes différences entre la situation des musées et des galeries.

De plus en plus de grandes fortunes investissent dans des oeuvres d'art. En Suisse, à Singapour ou au Luxembourg, on s'équipe pour accueillir ces précieux dépôts.

On ne gagne pas à tous les coups. Mais quand on gagne, c'est gros.

La création prochainement de ports francs à Luxembourg et à Pékin témoigne du rôle grandissant de ces plates-formes dans le marché de l'art.

Dix euros suffisent pour s'acheter un part de coproduction d'un long métrage. Mais pas (encore) pour faire fortune...

Léonard de Vinci est le nouveau Jeff Koons ! Les peintres anciens sont en plein boom sur le marché de l'art. Au risque d'attirer faussaires et escrocs... Enquête sur la face cachée d'un univers gangrené par la spéculation et le blanchiment d'argent.

Sotheby's sera bientôt française. L'occasion de s'interroger sur le marché de l'art. Y investit-on davantage ? Comment fixer le prix des oeuvres ? Quels sont les coûts liés aux maisons de vente ? Nous avons rencontré le chercheur Christophe Spaenjers, spécialiste de l'économie de l'art.

Bruce Nauman, Jeff Koons, Maurizio Cattelan ou Jean-Michel Basquiat sont les artistes dont on peut repérer les oeuvres chez les plus grands collectionneurs d'art contemporain.