Analyse, en octobre 2011, des freins au développement de l'assurance décès en France. Deux inconvénients majeurs identifiés : son fonctionnement à fonds perdus, et la stricte sélection médicale qu'elle impose. Résultat : l'assurance décès est reléguée au second plan, loin derrière la plus traditionnelle assurance-vie. Un produit différent, mais complémentaire.

Point, en 2011, sur le développement, depuis les années 2000, des contrats d'assurance-vie en ligne. Les souscriptions par Internet restent pour le moment largement minoritaires par rapport aux souscriptions classiques, mais convainquent de plus en plus de ″jeunes″ épargnants grâce aux frais réduits, à la flexibilité et à la performance. Mais souscrire seul requiert un minimum d'autonomie, et la situation familiale ou patrimoniale se doit d'être relativement simple pour coller aux standards des solutions en ligne.

Le point, en juillet 2012, sur l'attrait auprès des épargnants français de l'assurance-vie multi-supports qui regroupe une grande variété de contrats donnant accès à un ou plusieurs fonds en euros, une multitude d'unités de comptes et diverses garanties ou autres dispositifs d'arbitrage automatique. Le produit est le plus vendu, représentant 62% des 1330 milliards d'euros d'encours d'assurance-vie, en 2010, selon la Fédération française des sociétés d'assurances.

Les sept critères qui font la différence.

Le produit star de l'assurance-vie a du plomb dans l'aile. Il peut être utilement complété par de nouveaux supports.

Pour prévenir les frictions et optimiser le placement, posez-vous les bonnes questions.

Des supports plus performants, moins de droits de succession... Le placement préféré des Français n'a pas dit son dernier mot.

Sommaire. Assurance-Vie : Faut-il s'inquiéter ? Quelle alternative pour vos placements. Bourse : L'heureuse surprise. "Seules les actions laissent espérer un gain de 10% en 2017". Fiscalité ! Les derniers cadeaux fiscaux. Banque : Et vous trouviez moins cher ailleurs... Quatre bouleversements majeurs.