Trois contes fantastiques sur l'art et la musique. La première nouvelle met en scène le peintre Frenhofer poursuivant sans relâche le rêve du tableau parfait. Gambara raconte l'histoire d'un compositeur à la musique inaudible, sauf quand il est ivre. Massimilla Doni, une grande dame dont le chevalier servant devient l'amant d'une diva.

Un jour, à Paris, peu d'années avant la chute de l'Empire, un jeune avoué reçoit la visite d'un pauvre vieillard, qui assure être le colonel Chabert, passé pour mort dix ans auparavant à la bataille d'Eylau. Avec dans le dossier des documents et des repères historiques et littéraires.

4ème de couv. : "C'est sous le titre de La Comédie humaine qu'Honoré de Balzac réalise la première édition de ses «Œuvres complètes». Dix-sept volumes publiés entre 1842 et 1848 sont, après sa mort, complétés par trois autres entre 1853 et 1855. Cette édition est communément désignée comme l'édition «Furne», du nom du premier des coéditeurs à s'être lancé dans une telle entreprise éditoriale, sans précédent dans la littérature française. Cet ouvrage vous propose une découverte de l'édition «Furne» au travers de ses illustrations, des commentaires de Balzac sur son travail d'éditeur et d'un appareil documentaire complet."

Après une jeunesse amoureuse des plus tumultueuses, Julie, à 30 ans, dans le plein épanouissement de sa beauté, vit pourtant désormais l'heure douloureuse des renoncements : son mariage avec le volage Victor d'Aiglemont, l'échec de ce couple, de leur union, la désillusion enfin. Avec une chronologie et une interview de M. Ozouf sur ce roman qui constitue son classique préféré.

Eugénie, jeune fille belle et généreuse, vit à Saumur avec son père Félix, avare et tyrannique, sa mère effacée et leur servante. Un soir, Charles, son cousin parisien, débarque avec une lettre de son père qui, ruiné, vient de se suicider. Eugénie s'éprend de lui malgré les réticences de son père. Texte intégral avec dossier : documents préparatoires, histoire et argent, romanesque de l'attente.

Issue d'un sang illustre, Antoinette de Navarreins voit le jour en 1794, sous la Terreur, une bien sombre étoile qui sera pour elle la marque du destin. Quelque vingt ans plus tard, séparée de son mari abhorré, que lui avait imposé un père indifférent, c'est l'une des gloires mondaines du faubourg Saint-Germain.

La duchesse de Langeais ne connaît du monde que la vanité et la coquetterie. Femme à la mode, elle prend un amant, mais par orgueil finit par l'abandonner et se voue à l'amour absolu dans le carmel où elle s'est réfugiée.