Binet, Laurent (1972-....)
Article
Auteurs
Dupuis, Jérôme null
Bulletin : L'Express
Christophe Colomb aurait pu ne pas découvrir l'Amérique. Et les Incas, débarquer au Portugal. Laurent Binet, auteur d'une ambitieuse uchronie, réécrit le passé en compagnie de l'historien Didier Le Fur.
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Numéros de page :
pp.114-115
Article
Auteurs
Dieguez, Sebastian null
Bulletin : Cerveau & psycho 99 - mai 2018
Date parution pério
2018-05-01
Le roman de Laurent Binet révèle avec humour notre goût pour les discours creux, pirouettes verbales, baratin médiatique et autres langues de bois. Au point que ceux-ci sont devenus un puissant instrument de pouvoir.
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Numéros de page :
pp.94-97
Article
Auteurs
Leménager, Grégoire null
Bulletin : L'Obs 2859 - août 2019
Date parution pério
2019-08-22
L'un imagine que les Incas ont conquis notre continent, l'autre raconte l'Union européenne en inventant une principauté d'opérette. Dialogue exclusif entre Aurélien Bellanger et Laurent Binet.
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Numéros de page :
pp.65-69
Article
Auteurs
Mladenovic, Velimir null
Bulletin : Quinzaines 1220 - octobre 2019
Date parution pério
2019-10-01
Laurent Binet, dans son dernier roman "Civilizations", a raconté une histoire renversée de l'Europe. Vers l'an mille, la fille d'Erik le Rouge met cap au sud ; en 1492, Christophe Colomb ne découvre pas l'Amérique et, en 1531, les Incas envahissent l'Europe, où ils trouvent les guerres, la misère, l'Inquisition espagnole, la Réforme de Luther... Dans cet entretien, l'auteur éclaire la gestation de ce roman, la naissance du capitalisme et le problème du genre de l'épopée en littérature.
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Numéros de page :
pp.8-9
Article
Auteurs
Bulletin : Le Monde diplomatique janvier 2021
Date parution pério
2021-01-01
La fatwa prononcée en 1989 par l’imam Rouhollah Khomeiny contre Salman Rushdie a transformé "Les Versets sataniques" en un objet de scandale dont on continue de discuter sans l’avoir lu. Or, si cette oeuvre de sept cents pages, qui mêle aventures vécues et rêvées, a été jugée blasphématoire, c’est simplement, estime l’écrivain Laurent Binet, parce qu’un bon roman est le contraire d’un texte sacré.