Frans Brüggen entraîne ses musiciens dans les trois dernières symphonies de Mozart. Un crépuscule ? Un éblouissement ! Par la palette toujours unique, et un souffle prodigieux.

Quarante ans à téter sa flûte comme une mère, puis trente à diriger son propre ensemble ou les nombreux orchestres qui se régénéraient à son contact : toute sa vie, cet aventurier du son perdu aura cherché la vérité de Mozart, de Haydn, de Beethoven. Un enfant des Lumières vient de s'éteindre.