Avec ″Les Petits mouchoirs″, Guillaume Canet faire boire la tasse à une génération.

Malgré un casting all-stars et James Gray au scénar, Guillaume Canet et son « Blood Ties » anesthésient le polar. Sortez les mouchoirs.

Pour « Jappeloup », Guillaume Canet a remis le pied à l'étrier.

Grâce à "Ne le dis à personne", de Guillaume Canet, François Cluzet revient enfin en haut de l'affiche. Toujours impressionnant, l'acteur nous livre sa méthode. Et bien plus encore.

Fini les thrillers scorsésiens ou les portraits de groupe à la Sautet. Quinze ans après « Mon idole », Guillaume Canet revient à la farce explosive avec « Rock'n'Roll », autofiction délirante sur Guillaume Canet, star en crise (de la quarantaine et de l'inspiration) qui tente de prouver à son entourage qu'il est encore jeune et branché. Peut-il encore rallumer le feu ?

Trois films français ont rempli les salles cet automne : ″Des hommes et des dieux″, ″Potiche″ et ″Les Petits Mouchoirs″, le temps d'une saison de réconciliation.

Après "Mon Idole", Guillaume Canet, réalisateur, s'attaque à l'un des thrillers les plus lus de ces dernières années, "Ne le dis à personne" de l'Américain Harlan Coben. A la tête d'une distribution qui donne le tournis, on retrouve la trop rare François Cluzet.

Cet ex-champion de jumping saute aussi les obstacles au cinéma. Il vient de tourner avec Leonardo DiCaprio et s'apprête à réaliser son premier long-métrage.

Alors que les rayons de littérature policière ne cessent de gagner de l'espace dans les librairies, chaque éditeur y allant désormais de sa collection "populaire" (à des prix qui ne le sont plus guère, voir la nouvelle formule de la Série Noire chez Gallimard) publiée en format lourd, le cinéma français ne cultive plus qu'avec parcimonie la veine du polar.

Chez les jeunes acteurs du cinéma français, il n'y en a d'habitude que pour les filles. Honneur aux garçons pour une fois !