Dans le studio où elle répète sa tournée des Zénith, Diam's, la star du rap au féminin, nous fait entrer dans sa bulle, mais côté cinéma.

Avec "Angel", qui suit le destin d'une jeune Anglaise écrivain au début du XXe siècle, François Ozon, le réalisateur de "8 femmes", signe un film ample et flamboyant où transparaît sa passion pour les films de l'âge d'or d'Hollywood.

Véritable curiosité graphique, ″Je vous ai compris″ revisite le putsch des généraux en mêlant 7e et 9e arts pour un résultat encore imparfait mais proprement bluffant.

Du monsieur Hulot de Jacques Tati au pneu tueur de Quentin Dupieux, les réalisateurs n'ont pas leur pareil pour créer des situations et personnages absurdes, voire totalement fous.

S'il existe un art à propos de la réception duquel le terme d'« expérience » semble s'imposer, c'est bien le cinéma. Or, comme on le sait, la notion d'expérience est au centre de la réflexion herméneutique sur l'art, qui s'intéresse à la façon dont les oeuvres agissent sur nous et transforment notre vie. Cependant, l'herméneutique ne s'est jamais vraiment intéressée au cinéma en particulier. Que pourrait ou devrait donc être une herméneutique du cinéma ? Trois livres récents incitent à réfléchir à cette question...

Cinéphiles et iconoclastes, ils voulaient rompre avec le ciné de papa. Ils avaient peu d'argent mais des idées et du désir à revendre. Ils ont réinventé la manière de faire des films.