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Cinéma indépendant -- Etats-Unis

Article

Auteurs
Delorme, Stéphane Auteur du texte
Numéros de page :
6 p. / p. 88-93

Article

Voyage à Austin, où avec ses 134 films, le festival South by Southwest est devenu un rendez-vous incontournable du cinéma indépendant américain.
Numéros de page :
23 p. / p. 88-100, 102-104, 106-108, 110-113

Article

A l'occasion de la sortie en salle de "Pursuit of Loneliness", rencontre avec un prodige de la publicité devenu une figure atypique du cinéma indépendant américain.
Numéros de page :
1 p. / p. 69

Article

La dérive du Grand Festival "Indie" américain.
Numéros de page :
2 p. / p. 52-53

Article

Dans le livre "Sexe, mensonges et Hollywood", Peter Biskind démonte le cinéma indépendant américain tout en crucifiant Robert Redford et les frères Weinstein.
Numéros de page :
pp.100-101

Article

Date parution pério
1998-06-01
Numéros de page :
/ p. 198-202

Article

Auteurs
Haddad, Léonard Auteur du texte
Date parution pério
2016-03-01
Cador annoncé du "jeune cinéma US", Jeff Nichols s'acquitte avec "Midnight Special" du toujours difficile "premier film pour un studio", avec un père, son fils et le Sud américain. Rien n'aurait donc changé depuis "Shotgun Stories" et "Take Shelter" ? Euh, il y a un peu des extraterrestres aussi...
Numéros de page :
6 p. / p. 74-79

Article

Auteurs
Walsh, Bryan Auteur du texte
Date parution pério
2013-04-22
Shane Carruth revient aux bases de la réalisation cinématographique.
Numéros de page :
4 p. / p. 44-46

Article

Auteurs
Rossano, Denis Auteur du texte
Date parution pério
2015-07-01
Si Hollywood tourne en rond, le cinéma indépendant américain continue à être un vivier de talents et d'originalité depuis son éclosion dans les années 1980. Retour vers le futur.
Numéros de page :
3 p. / p. 48-50

Article

Auteurs
Ribeton, Théo Auteur du texte
Date parution pério
2014-04-09
La France découvre tout un pan du cinéma indé américain, alors même que cette mouvance semble se dissoudre. Tentative de définition du mumblecore, courant ayant eu Austin comme centre de gravité, Greta Gerwig comme égérie et la mélancolie comme moteur.
Numéros de page :
5 p. / p. 50-54