Histoire de l'utilisation du storytelling, une technique de communication fondée sur la construction de récits sollicitant l'inconscient émotionnel, dans les secteurs marchands et non-marchands. En décryptant ses diverses applications dans la publicité et en particulier sur Internet, l'auteur propose un manuel de décodage et un outil de communication pour les PME et le secteur non-marchand.

Dialogue sur le pouvoir de la parole, qui met en scène deux célèbres avocats du barreau parisien. Des personnages emblématiques (les sophistes, Bossuet, Robespierre, Jaurès...) et des procès retentissants sont évoqués pour illustrer les différentes thématiques liées à l'éloquence : le bien dire, la séduction, etc...

Réflexion sur l'image et ses usages à l'heure du numérique, où les auteurs abordent la fabrication de l'image photographique, cinématographique, télévisuelle et numérique contemporaine. A partir de l'exemple du Baiser de l'Hôtel de ville de Robert Doisneau et du faux charnier de Timisoara, la question du statut de vérité est posée. Ils se penchent ensuite sur l'évolution de l'image depuis 1945.

Les outils et les techniques pour construire une histoire autour d'un produit (aussi bien une marque qu'un homme politique). Avec de nombreux exemples de sagas.

Un décryptage de la pratique du storytelling appliqué à la communication de masse, que se soit en marketing ou en politique, pour mieux formater les esprits des consommateurs et des citoyens.

Cet essai questionne le pouvoir mobilisé par les sociétés médiatiques pour gouverner. Il explique que pour déconstruire ce pouvoir, il faut comprendre et utiliser la puissance émancipatrice du récit, la mythocratie et que l'inscription de gestes et de comportements dans une trame narrative, favorise l'émergence d'un imaginaire politique capable de déboucher sur de nouveaux modes d'intervention.

Pour sortir la communication du mirage de sa surpuissance, l'auteur rappelle sa dimension humaniste expliquant que l'avenir de la communication n'est pas dans le triomphe de la technique ou du marché, mais dans le risque de la rencontre et de l'incompréhension. L'autre étant différent, il est nécessaire d'accepter l'incommunication comme horizon de toute communication.