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Coups d'État -- Mauritanie

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Le 6 août 2008, vers 7 heures, un communiqué de la présidence annonce le limogeage des quatre principaux chefs de l'armée. Deux heures plus tard, le chef de l'Etat est arrêté, sans qu'un coup de feu soit tiré. Une fâcheuse tradition qu'on voulait croire oubliée.
Numéros de page :
4 p. / p. 12-15

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A la tête de la junte qui a renversé Sidi Ould Cheikh Abdallahi le 6 août 2008, le général Mohamed Ould Abdelaziz, chef de l'Etat autoproclamé, a bien promis une élection présidentielle libre et transparente, mais il n'a pas pour autant rassuré ceux qui s'inquiètent de voir le pays avec le règne des autocrates en uniforme.
Numéros de page :
4 p. / p. 42-45

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Depuis un mois, junte militaire et communauté internationale s'affrontent. Mais les ponts sont loin d'être rompus et un compromis n'est pas exclu
Numéros de page :
2 p. / p. 12-13

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Sollicité, voire attendu, l'ancien chef de l'Etat - et artisan du processus démocratique - ne s'est toujours pas officiellement exprimé sur le putsch du 6 août dernier. Ni sur ses intentions
Numéros de page :
3 p. / p. 46-49

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Transféré dans son village natal, où il est toujours en résidence surveillée, le président déchu n'envisage pas ouvertement de compromis avec la junte au pouvoir
Numéros de page :
1 p. / p. 50

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Pour le président de l'Assemblée nationale, seule une solution de compromis peut sortir le pays de la crise née du putsch du 6 août 2008.
Numéros de page :
2 p. / p. 50-51

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Quatre mois après avoir renversé Sidi Ould Cheikh Abdallahi, le chef de l'Etat autoproclamé a trouvé une légitimité auprès des plus démunis. Mais ses mesures populistes n'ont convaincu ni la communauté internationales ni le font de soutien au président déchu.
Numéros de page :
2 p. / p. 38-39

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Issu d'un coup d'Etat, le Conseil militaire pour la justice et la démocratie assure vouloir rétablir l'Etat de droit. De fait, après les avoir condamnés, l'Union africaine et les occidentaux ont vite pris langue avec les putschistes. C'est que le régime déchu du président Ould Taya semblait à la dérive. Affirmant ne diriger qu'un pouvoir de transition, la nouvelle junte démocratisera-t-elle vraiment le pays?
Numéros de page :
2 p. / p. 8-9