Coups d'État -- Mauritanie
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Bulletin : Jeune Afrique 2448 - décembre 2007
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Bulletin : Jeune Afrique 2483-2484 - août 2008
Le 6 août 2008, vers 7 heures, un communiqué de la présidence annonce le limogeage des quatre principaux chefs de l'armée. Deux heures plus tard, le chef de l'Etat est arrêté, sans qu'un coup de feu soit tiré. Une fâcheuse tradition qu'on voulait croire oubliée.
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Numéros de page :
4 p. / p. 12-15
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Bulletin : Jeune Afrique 2485 - août 2008
A la tête de la junte qui a renversé Sidi Ould Cheikh Abdallahi le 6 août 2008, le général Mohamed Ould Abdelaziz, chef de l'Etat autoproclamé, a bien promis une élection présidentielle libre et transparente, mais il n'a pas pour autant rassuré ceux qui s'inquiètent de voir le pays avec le règne des autocrates en uniforme.
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Numéros de page :
4 p. / p. 42-45
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Bulletin : Jeune Afrique 2487 - septembre 2008
Depuis un mois, junte militaire et communauté internationale s'affrontent. Mais les ponts sont loin d'être rompus et un compromis n'est pas exclu
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Numéros de page :
2 p. / p. 12-13
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Bulletin : Jeune Afrique 2489 - septembre 2008
Sollicité, voire attendu, l'ancien chef de l'Etat - et artisan du processus démocratique - ne s'est toujours pas officiellement exprimé sur le putsch du 6 août dernier. Ni sur ses intentions
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Numéros de page :
3 p. / p. 46-49
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Bulletin : Jeune Afrique 2498 - novembre 2008
Transféré dans son village natal, où il est toujours en résidence surveillée, le président déchu n'envisage pas ouvertement de compromis avec la junte au pouvoir
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Numéros de page :
1 p. / p. 50
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Bulletin : Jeune Afrique 2497 - novembre 2008
Pour le président de l'Assemblée nationale, seule une solution de compromis peut sortir le pays de la crise née du putsch du 6 août 2008.
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Numéros de page :
2 p. / p. 50-51
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Bulletin : Jeune Afrique 2499 - novembre 2008
Quatre mois après avoir renversé Sidi Ould Cheikh Abdallahi, le chef de l'Etat autoproclamé a trouvé une légitimité auprès des plus démunis. Mais ses mesures populistes n'ont convaincu ni la communauté internationales ni le font de soutien au président déchu.
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Numéros de page :
2 p. / p. 38-39
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Bulletin : Le Monde diplomatique 620 - novembre 2005
Issu d'un coup d'Etat, le Conseil militaire pour la justice et la démocratie assure vouloir rétablir l'Etat de droit. De fait, après les avoir condamnés, l'Union africaine et les occidentaux ont vite pris langue avec les putschistes. C'est que le régime déchu du président Ould Taya semblait à la dérive. Affirmant ne diriger qu'un pouvoir de transition, la nouvelle junte démocratisera-t-elle vraiment le pays?
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Numéros de page :
2 p. / p. 8-9