Après quelques années d'absence, Michael Cunningham revient avec un nouveau roman, ″Crépuscule″, peinture de la chute d'un galeriste new-yorkais. Un récit sur la beauté et la quête du paradis perdu. Magistral.

Cunningham se montre brillant, élégiaque dans son évocation des émotions humaines.

Un roman faussement simple qui entrelace les enjeux des deux grands romans de Cunningham. Une manière de se tenir à mi-chemin et de signifier une inquiétude trouble devant le monde, son être propre, la beauté, et ce que l'on peut en faire.

Après celles des "Notes critiques" rédigées entre 1949 et 1969 (que les collectionneurs se reportent à "La Quinzaine littéraire" nł624) voici que paraît la traduction des pages qu'Horkheimer avait écrites entre 1926 et 1931 et publiées en Suisse en 1934 sous le titre "Crépuscule"...