Des magistrats et avocats sont persuadés que les techniques de fouilles développées par les archéologues pourraient être utilisées efficacement dans des enquêtes criminelles. En France, reste à convaincre les autorités judiciaires.

Le 1er avril 2019, une partie importante de la collection photographique de la Police technique et scientifique (PTS) de Liège était transférée de l'ancien palais des prince-évêques aux Archives de l'État à Liège. Ce déménagement assurait la sauvetage de plusieurs décennies de travail d'enquête forensique effectué lors de descentes policières sur des lieux de crimes, de délit ou d'accident.

Après plus de quarante ans de traque, la police américaine a arrêté un redoutable tueur en série grâce à un site de généalogie génétique, qui permet de rechercher les membres d'une même famille à partir de leur ADN.

De 1894 à 1897, entre Var, Ardèche, Savoie et Bourgogne, un vagabond sème sur son chemin onze cadavres de jeunes gens. Le feuilleton judiciaire du « Jack l’Eventreur français » réactive le débat sur la frontière qui sépare le crime de la folie.

Pour la police scientifique, la présence d'ADN sur les lieux d'un crime ou d'un délit est souvent la preuve qui, à elle seule, permet d'identifier le coupable. Pourtant, il arrive que l'ADN mente...

Une vitre cassée, un ordi volé, des traces de sang... Ce matin-là, une bien mauvaise surprise attendait Léa, la rédactrice en cheffe de "SVD". Elle te raconte comment la police scientifique a élucidé cette sombre affaire.