En 1998, l'ONU donnait dix ans à ses membres pour parvenir à un monde sans drogues. Réunis en février dernier à Vienne pour faire le point, les Etats ont dû admettre que cet objectif restait hors d'atteinte. La production et la consommation ne faiblissent pas, et le trafic prospère comme jamais, avec son cortège de violences.

En Amérique latine et en Europe, la question de la légalisation de la drogue refait surface. Mais de quoi parle-t-on : de la dépénalisation ? de la consommation ? de la libéralisation du commerce ? du contrôle de la production ? de quelles drogues ? Les Etats sont encore loin de répondre à toutes ces questions.

Depuis plusieurs mois, l'office central de lutte antidrogue est dans le viseur des magistrats et de la police des polices. Une décision de justice, le 2 décembre 2016, pourrait annuler une de ses enquêtes.

Dès les années 1980, l'objectif des politiques de santé publiques est de limiter les risques engendrés par toutes les formes d'addiction et d'encourager l'usager à adopter un mode de vie moins dangereux pour sa santé et son bien-être. La diversité des lieux de soins qui se sont développés ces trente dernières années offre aux patients la possiblité d'êre accueillis, d'obtenir une réponse à leurs besoins et permet de prévenir les risques et les dommages liés à leur addiction.

Une source confidentielle de la lutte anti-drogue américaine piège les trafiquants de drogues et d'armes en se faisant passer pour l'un d'entre eux.

Après la saisie de 7 tonnes de shit à Paris, la justice met le nez dans la lutte contre le trafic de stups. Où l'on découvre que les douaniers ont mis par terre l'enquête prometteuse de la PJ, avec à la clé de lourds ennuis pour les indics...