Umbert Eco publie ″Confessions d'un jeune romancier″ (Grasset). Il évoque pour ″Le Point″ le pouvoir de la littérature et le chaos italien.

Dans "Histoire des lieux de légende", le linguiste explore notre imaginaire.

Umberto Eco raconte la genèse du "Nom de la rose". Un roman conçu comme un petit monde, dont l'abbaye, le labyrinthe et la bibliothèque ont été patiemment construits par l'auteur, pierre par pierre, livre par livre.

On attendait, depuis le succès du "Nom de la rose", sa nouvelle fresque médiévale.

A la fois romancier et sémioticien, l'auteur du "Nom de la rose" signe un recueil d'études sur des écrivains aussi variés que Proust, Borges, Wilde et surtout Nerval, dont il aime "Sylvie" depuis quarante ans. Catherine David l'a rencontré sur son lieu de villégiature, au bord de la mer.

L'écrivain italien publie un nouvel essai. Il analyse avec brio les changements dans le monde depuis le 11-Septembre et brandit les armes de la culture.

S'il y a des canons de la beauté, la laideur n'en a pas. Le sémiologue italien et la philosophe française publient chacun un livre sur la question.

A l'occasion de la réédition de son best-seller médiéval, Umberto Eco évoque la tempête financière, la fin du monde et son amour des livres. Didier Jacob l'a rencontré.