L'ADN aide à résoudre de plus en plus d'affaires criminelles.

Certains gènes s'expriment différemment selon qu'ils viennent du père ou de la mère.

Associer à chaque espèce une séquence génétique courte et représentative afin d'identifier aisément des animaux ou des végétaux : plusieurs biologistes défendent ce projet en dépit des doutes, des réticences et des obstacles techniques.

Grâce à l'analyse de l'ADN dévoilée deux ans et demi après le meurtre de sa femme dont il s'était accusé devant gendarmes et juge, ce paisible retraité a pu être blanchi.

Cinq ans après la Grande-Bretagne, la police française va pouvoir enfin ficher les codes ADN des... délinquants sexuels.

Les dernières analyses de l'ADN de notre lointain cousin suggèrent que l'homme moderne ne partage guère de gènes avec lui.

Mon aïeul, Christophe Colomb ? Et pourquoi pas un chef indien ! Pour le savoir, il suffit d'un simple prélèvement de salive.

Trente ans après un meurtre, l'ADN d'un suspect a été identifié. Problème : il correspond à celui d'un homme déjà innocenté pour ce crime. La loi empêche en principe toute poursuite. Un cas de conscience inédit.

Le crime parfait peut-il encore exister ? Depuis que la science est entrée dans le prétoire, les investigations criminelles ont pris une dimension nouvelle. Les traces et les indices matériels ont supplanté l'aveu. Les sciences du vivant occupent dans ce domaine une part très importante et il est aujourd'hui commun de parler de génétique, d'entomologie, de pédologie, d'odontologie ou encore d'anthropologie au tribunal. La vérité aurait-elle ses sciences ?

Deux fois déjà, Hank Skinner a échappé in extremis à l'exécution. Condamné en 1995 pour l'assassinat de sa compagne et des deux fils de celle-ci, ce ″bad boy″ du Texas a toujours clamé son innocence. La femme qu'il a épousée depuis, son avocat et un professeur de journalisme chasseur d'erreurs judiciaires ont raconté à Natacha Tatu leur harassant combat contre un système pénal aveugle.