A plus de 3 000 mètres d'altitude, des amateurs passionnés ont découvert d'étranges êtres vivants qui prospèrent dans les névés.

En raison d'un manque de spécialistes, l'évolution des populations de nombreuses espèces d'abeilles reste inconnue. Ces insectes symbolisent pourtant la perte de la biodiversité.

Depuis le Néolithique, l'homme introduit des espèces hors de leur aire naturelle à des fins agronomiques ou esthétiques. Avec la multiplication des échanges commerciaux, ce phénomène prend aujourd'hui une ampleur inédite. On commence seulement à en mesurer les conséquences écologiques, sanitaires et économiques.

Aux Bahamas, notre journaliste a plongé avec l'un des prédateurs les plus redoutables de l'océan. Pour tenter de comprendre la terreur qu'il inspire.

Les menaces pesant sur la biodiversité obligent les écologues à se poser cette question : quelles espères sauver en priorité ? Les plus rares ? Les plus utiles ?... Les critères ne manquent pas. Et vifs les débats, entre raison et passion.

Lorsqu'ils s'absentent de leur laboratoire, on a toutes les chances de trouver les systématiciens dans la jungle, en montagne ou au fond des mers, en train de récolter des spécimens d'animaux ou de plantes. Si ces scientifiques organisent de tels voyages, ce n'est pas pour faire du tourisme, mais pour recenser et classifier le vivant, qui a bien besoin qu'on le protège. Cosinus et Particule ont fait le voyage jusqu'en Indonésie, pour interviewer Arnaud Filleul, docteur en systématique, sur le déroulement de son travail.

Les pigeons, ces oiseaux des villes, ces oiseaux gris, que l'on ne regarde plus... ou que l'on considère comme une pollution. Changeons cela ! Observons-les d'un oeil neuf. Un voyage autour du monde, à la rencontre de leurs cousins exotiques et historiques, nous fera redécouvrir la beauté, la robustesse, la diversité de ces oiseaux.

La théorie quantique ne concerne pas seulement les électrons et les atomes. Elle s'applique aussi à plus grande échelle : aux oiseaux, aux plantes, voire aux humains.