Fan des grands espaces, l'écrivain du Colorado est aussi un amoureux de la France et du Montparnasse des années 1920. C'est là qu'il plante le décor de son dernier roman. Histoire d'une passion.

L'Américain Jim Fergus retrouve ses racines françaises grâce à Marie-Blanche, sa mère, au destin tragique.

L'auteur américain a tressé fiction et histoire, récriminations et romance, pour donner une suite à "Mille femmes blanches", son best-seller sur les guerres indiennes. Un militantisme appuyé et sombre.

Dans son premier roman, "Mille Femmes blanches", paru en France en 2000, Jim Fergus partait d'un fait divers datant de 1874 : la proposition d'échange du chef cheyenne Little Wolf pour négocier la paix avec le président Grant. Soit mille chevaux contre autant de femmes blanches permettant la survie de sa tribu. Avec "La Vengeance mères", l'écrivain américain reprend le fil de son histoire pour tisser un lien avec les survivantes.

L'un a chassé cinq mois durant, du Colorado à la côte Est. L'autre a traversé son pays dans des trains de marchandises.