En trois festivals, Venise, Toronto et Deauville, joli coup d'oeil sur les films à sortir ces mois-ci : une fausse et splendide bio de Dylan, un Cronenberg sanglant, un De Palma stupéfiant, un Wes Anderson indianisant, un Farrely réjouissant.

Retour sur les deux pans (documentaire et fiction) de la programmation 2015 du festival américain de Deauville.

Deauville fut marqué, pour le meilleur, par un retour à la comédie. Avec en extra, le premier film d'une réalisatrice noire-américaine, Leslie Harris.

Dans leur souci de ne froisser personne, les organisateurs du Festival du cinéma asiatique ont sélectionné (et primé) de gentils films d'apprentis.

A Deauville, tous les personnages possibles du drame provincial et de l'ennui solitaire ont occupé l'écran.

Dans la courte histoire du Festival du film asiatique de Deauville, la troisième édition, qui s'est tenue du 1er au 4 mars 2001, représente un saut qualitatif et quantitatif : plus de films, plus d'invités, plus de spectateurs.